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        Afrique anglophone vs. Afrique francophone : Mythes et réalités d’une rivalité économique

        Eyssette, Jérémie 한국프랑스학회 2023 한국프랑스학논집 Vol.123 No.-

        Selon un mythe bien établi, les pays africains anglophones auraient une économie plus développée, ou en tout cas plus performante, que celle des pays africains francophones. Pour comprendre les origines de ce narratif, notre étude compare le modèle colonial français plus contraignant et administratif, au modèle anglais, de gouvernance dite « indirecte », et donc prétendument plus propice à la liberté d’entreprendre. De ce décalage colonial découleraient les écarts de croissance économique entre les zones anglophone et francophone. Pourtant, l’examen des performances économiques des pays africains après les indépendances ne révèle pas d’avance anglophone jusqu’au début des années 2000, au contraire. Par la suite, un léger décrochage de la zone francophone n’est souvent que la résultante de critères restrictifs, voire spécieux, se focalisant sur les pays de la Communauté de l’Afrique de l’Est ; sur la seule période allant de 2001 au début de la pandémie en 2019 ; ou encore, sur les économies dopées par les Investissements Directs Etrangers (IDE) et les programmes d’Aide Publique au Développement (APD). Pour élucider ce hiatus entre mythes et réalités, notre étude explore finalement l’hypothèse selon laquelle les avatars militaire et monétaire de la Françafrique déteindraient sur notre perception des économies des pays africains francophones, mais pas nécessairement sur leur vitalité économique.

      • KCI등재

        식민주의, 언어, `프랑스어권`흑아프리카

        오은하 ( Eun Ha Oh ) 서울대학교 불어문화권연구소 2011 불어문화권연구 Vol.21 No.-

        Des appelLations comme Afrique "francophone" ou Afrique "anglophone", etc., posent Le probLeme de L`heritage colonial. Neanmoins si nous appelons souvent "L`Afrique noire francophone", des pays anciennement colonises par La France, situes dans La region subsaharienne, c`est au moins partielLement pour La raison que Les pays en question se regroupent dans Le secteur "francophone". C`est de Leur propre initiative, apres La decolonisation, qu`est fondee L`Organisation InternationaLe de La Francophonie (OIF). D`ailLeurs, presque tous Les pays de cette region donnent a La Langue francaise Le statut de Langue officielLe, bien que Le nombre de Locuteurs du francais y reste tres faibLe. L`Organisation de La Francophonie affiche son but comme La defense de La "diversite culturelLe et linguistique" contre La monopoLe de L`anglais dans Le monde entier. Pourtant, il nous sembLe que L`ideologie de La "francophonie" tente de defendre Les priviLeges anciens du francais qui a ete contraint de ceder a L`angLais son statut de Langue internationaLe. De plus, La situation linguistique des pays d`Afrique francophone montre que cette me?me ideologie s`eleve tout autant contre Les revendications des minorites quant a Leur propre droit linguistique fondamental. Au lieu des Langues autochtones africaines, c`est Le francais qui y est impose comme La Langue de L`administration et de L`education. En faveur de ce statut du francais comme Langue officielle, des gouvernements africains mettent en avant des raisons comme La facilite de communication, La possibilite plus grande de prendre pLace dans La communaute internationaLe et L`anticipation des avantages economiques. La multiplicite des Langues autochtones et Le taux d`analphabetisme tres haut justifient ce choix. Mais d`un autre co te, il y a de fortes oppositions a ce statut inverse du francais et des Langues africaines. D`une part, on constate Le fait que Le statut officiel du francais n`a que peu de reLations avec son usage par La popuLation. La francophonie de L`Afrique subsaharienne semble etre due a La francisation Linguistique de certaines couches sociaLes, qui partagent depuis L`ere de La colonisation La conviction mythique de La "cLarte francaise" et de La "mission civilisatrice" associee a La Langue francaise. D`autre part, certains s`opposent a La domination linguistique dans La perspective du nationalisme ou du post-colonialisme. Parce qu`ils considerent Leur Langue comme fondement de L`identite nationaLe et intermediaire de La culture traditionnelle, certains revendiquent Le soutien et Le developpement des Langues africaines. Deux tentatives representatives de cette demarche ont ete La politique Linguistique pour La decolonisation culturelLe de Guinee, et Le mouvement "Kaddu" de Senegal contre La dependance a La France mene par Le gouvernement de Senghor. Mais L`echec de ces deux tentatives a montre plusieurs probLemes difficiLes autour de La domination linguistique. Entre Le rejet total de La Langue colonisatrice ou sa reappropriation pour s`exprimer, Les debats continuent.

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        식민주의, 언어, ‘프랑스어권’ 흑아프리카

        오은하 서울대학교 불어문화권연구소 2011 불어문화권연구 Vol.21 No.-

        Des appellations comme Afrique “francophone” ou Afrique “anglophone”, etc., posent le problème de l’héritage colonial. Néanmoins si nous appelons souvent “l’Afrique noire francophone”, des pays anciennement colonisés par la France, situés dans la région subsaharienne, c’est au moins partiellement pour la raison que les pays en question se regroupent dans le secteur “francophone”. C'est de leur propre initiative, après la décolonisation, qu’est fondée l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF). D’ailleurs, presque tous les pays de cette région donnent à la langue française le statut de langue officielle, bien que le nombre de locuteurs du français y reste très faible. L’Organisation de la Francophonie affiche son but comme la défense de la “diversité culturelle et linguistique” contre la monopole de l’anglais dans le monde entier. Pourtant, il nous semble que l’idéologie de la “francophonie” tente de défendre les privilèges anciens du français qui a été contraint de céder à l’anglais son statut de langue internationale. De plus, la situation linguistique des pays d’Afrique francophone montre que cette même idéologie s’élève tout autant contre les revendications des minorités quant à leur propre droit linguistique fondamental. Au lieu des langues autochtones africaines, c’est le français qui y est imposé comme la langue de l’administration et de l’éducation. En faveur de ce statut du français comme langue officielle, des gouvernements africains mettent en avant des raisons comme la facilité de communication, la possibilité plus grande de prendre place dans la communauté internationale et l’anticipation des avantages économiques. La multiplicité des langues autochtones et le taux d’analphabétisme très haut justifient ce choix. Mais d’un autre côté, il y a de fortes oppositions à ce statut inversé du français et des langues africaines. D’une part, on constate le fait que le statut officiel du français n’a que peu de relations avec son usage par la population. La francophonie de l’Afrique subsaharienne semble ê̂tre dû̂e à la francisation linguistique de certaines couches sociales, qui partagent depuis l’ère de la colonisation la conviction mythique de la “clarté française” et de la “mission civilisatrice” associée à la langue française. D’autre part, certains s’opposent à la domination linguistique dans la perspective du nationalisme ou du post-colonialisme. Parce qu’ils considèrent leur langue comme fondement de l’identité nationale et intermédiaire de la culture traditionnelle, certains revendiquent le soutien et le développement des langues africaines. Deux tentatives représentatives de cette démarche ont été la politique linguistique pour la décolonisation culturelle de Guinée, et le mouvement “Kàddu” de Sénégal contre la dépendance à la France mené par le gouvernement de Senghor. Mais l’échec de ces deux tentatives a montré plusieurs problèmes difficiles autour de la domination linguistique. Entre le rejet total de la langue colonisatrice ou sa réappropriation pour s’exprimer, les débats continuent.

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        프랑스어권 흑아프리카 지역과 프랑스어

        최은순 ( Choe Eun Sun ) 한국불어불문학회 2003 불어불문학연구 Vol.0 No.56

        Nous nous proposons dans ce travail d`expliciter les caracte´ristiques de la situation socio-linguistique en Afrique noire francophone. Il est ne´cessaire de pre´ciser les situations concurencielles entre le francais et les langues africaines ; d`un point de vue fonctionnel, il s`agit d`un double bilinguisme diglossique (soit langue officielle/langue nationale soit celle-ci/langues autochtones). La situation linguistique de l`Afrique est largement de´termine´e par un ensemble de facteurs historiques, ethniques, e´conomiques, etc. Cette complexite´ s`explique bien par ce que la majorite´ de pays africains a adopte´ la politique de non-intervention selon laquelle le francais obtient le statut de premier langue officielle, tout en donnant a` leurs propres langues celui de langues nationales ou de langues locales. Pour le moment, cette politique est conside´re´e comme une solution indispensable pour l`e´vincement des conflits ethniques, le de´veloppement e´conomique et l`unite´ nationale. On peut donc indiquer qu`elle n`est qu`une strate´gic temporaire dans l`environnement e´conomique et politique. En re´alite´, d`un point de vue de´mographique le francais est parle´ par peu de francophones, soit moins de 10% de population, bien qu`il surpasse les langues africaines dans des domaines publics comme syste`me e´ducatif, le´gislation, administration, politique, etc. Il n`est qu`une langue e´conomique et politique, utilise´e par certaines e´lites. En plus, en Afrique francophone comme ailleurs, le francais est de plus en plus menace´ par l`he´ge´monie mondiale de l`anglais, ce qui ne favoriserait pas l`avenir du francais. Nous concluons done que le rapport de pouvoir e´conomique et politique jouera un ro^le de´cisif pour garantir le statut privile´gie´ de francais, comme les langues africaines le sont.

      • KCI등재

        프랑스어권 아프리카의 언어 문제 - 토착어, 언어민족주의와 공용어 편력 사이

        김병욱 한국프랑스학회 2015 한국프랑스학논집 Vol.89 No.-

        Ce travail a pour but d’examiner le statut des langues locales de l’Afrique francophone. Le point de départ de notre travail est tel que les langues autochtones sont indispensables pour le maintien de l’identité nationale et le développement durable du continent. Cependant nous constatons que la situation réelle n’est pas du tout favorable au destin des langues locales africaines. Nous avons considéré dans ce travail deux cas qui manifestent des aspects très négatifs autour de cette question : l’Algérie et la Guinée équatoriale. En Algérie, l’arabe classique du Coran est tout au-dessus des langues locales au nom du ‘nationalisme linguistique’ et du ‘pan- arabisme, du pan-islamisme’. Les dirigeants algériens s’en servent comme support idéologique, non pas de communication, pour l’islamisation du pays. On est obligé d’utiliser, au détriment des langues régionales, l’arabe classique qu’on ne parle pas. Il en va de même pour le français, langue de l’ex-colonisateur ; le français n’est pas une langue de prestige pour eux. Ici les langues autochtones ne trouvent nulle part leur raison d’être. En Guinée équatoriale, il en va à la fois ‘de même’ et ‘autrement’ qu’en Algérie. C’est parce que les langues locales sont sous la domination absolue des langues européennes ex-colonisatrices. ‘Autrement’ c’est que ce pays continue activement à chercher une issue aux difficultés économiques au moyen des langues internationales, espagnol, français et portugais. Ce faisant, nous avons constaté qu’il est indispensable de trouver une collaboration des deux types de langues pour le développement de l’Afrique francophone. Il est bien nécessaire d’avoir une mentalité ouverte à la fois à l’intérieur et à l’extérieur. C’est pourquoi nous insistons sur le bi- ou trilinguisme y comprenant une langue autochtone dans cette région. Il faut dire pour conclure que le développement durable de l’Afrique francophone sera possible sur la base de la diversité linguistique et culturelle, appuyée sur l’identité nationale exprimée en langues autochtones.

      • KCI등재

        프랑스어권 교육 과정에 대한 고찰과 전망 - 프랑스어권 아프리카 트랙

        김용현 ( Kim Yong Hyun ),손정훈 ( Son Jeong Houn ) 한국프랑스어문교육학회 2015 프랑스어문교육 Vol.49 No.-

        Notre étude a pour objectif d'examiner le programme d'enseignement sur la Francophonie à travers la Filière de l'Afrique Francophone qui est mise en oeuvre depuis 2012. Elle met au point l'insertion d'un nouveau programme dans le cursus traditionnel du département de langue et littérature françaises plutôt que son contenu éducatif. L'article se compose de deux grandes parties : bilan général de la Filière de l'Afrique Francophone et analyse de l'entretien des étudiants. Le programme a été conçu pour répondre au marché émergeant du continent afrique. Pour cela, il a proposé d'acquérir la compréhension socioculturelle et politique des pays africains francophones, dotée de la compétence linguistique. Afin de faciliter aux étudiants le choix de cette option, il a pris la forme de ‘filière’, comme on dit ‘track’ en anglais, disposant d'une grande souplesse an niveau d'inscription et de crédits par rapport au système traditionnel. Concernant les matières, les étudiants doivent suivre trois matières obligatoires et quatre autres optionnelles, issues de quatre spécialités de l'université. Parallèlement aux cours, nous avons envisagé pour le meilleur résulat une série d'activités extrascolaires : cercle d'étudiants, UR(undergraduate Research) et conférences de spécialistes. Nous avons mené deux enquêtes auprès des étudiants sur le déroulement du programme de cette filière et un entretien en groupe de discussion, composé de huit étudiants, pour savoir scrupuleusement les motifs de leur choix ou de leur abandon, les difficultés de la formation etc. Pour terminer, afin de développer le programme d'enseignemnt sur les pays francophnes au niveau de licence, il serait souhaitable de mettre l'accent sur l'orientation d'études que sur l'approfondissement des connaissances. Ensuite, il faudrait egalement amenager le systeme d'administration academique au profit de l'enseignement interdisciplinaire.

      • KCI등재

        언어식민주의와 아프리카의 언어 수용 양상 – 프랑스어권 아프리카의 이해를 위한 접근

        김병욱 한국프랑스학회 2012 한국프랑스학논집 Vol.79 No.-

        Ce travail a pour but, d’examiner la situation linguistique où se trouve actuellement l’Afrique francophone. Il s’agit de voir si les Africains ont obtenu réellement leur liberté au niveau de la question des langues depuis leur émancipation des forces colonialistes. Nous avons décrit la situation globale du continent africain du point de vue linguistique. Ce faisant, on a pu avoir la référence par rapport à laquelle on peut juger l’état des choses de l’Afrique francophone en la matière. Après avoir considéré les aspects du colonialisme linguistique, nous avons d’abord examiné la situation linguistique de l’Afrique par ordre chronologique. Ensuite les avis des spécialistes africains (au moins d’origine africaine) sur la question du choix de la ‘langue africaine’. Les Africains estiment toujours ‘une’ liberté totale, plus ardemment qu’avant. La réalité, cependant, ne leur perment pas de réaliser leur rêve contre toute espérance. Il y a toujours dans les sociétés africaines un grand décalage entre le rêve et la réalité. Les fantômes des anciens colonisateurs sont toujours là ; ils exercent encore une grande influence sur toute la société africaine, bien sûr sur la pratique langagière sous forme de néo-colonialisme. Il est vrai qu’il existe en Afrique le conflit entre les langues autochtones et les langues dominantes importées. Il s’agit plus précisément d’une ambivalence entre l’accueil et le refus, la résistance face à la domination des langues européennes, surtout le français et l’anglais. À partir de toutes ces réflexions, nous constatons que défendre sa propre langue, c’est de défendre l’identité et la culture de la nation. Cet effort doit s’accompagner de la prise de conscience de soi-même des nations, et de leur entente mutuelle. Tout cela constituera la base du développement durable du monde.

      • KCI등재

        프랑스어로 된 ‘세계-문학’ 개념 고찰 : 프랑스어권 아프리카 작가들의 견해를 중심으로

        유치정 한국프랑스학회 2023 한국프랑스학논집 Vol.124 No.-

        Cet article vise à éclairer la notion d’une ‘littérature-monde’ en français’ présentée par les 44 écrivains en 2007. Cette notion est née d’une remise en cause du statut de la francophonie et de la littérature francophone. Nous examinons d’abord la problématique de l’usage du français et de la littérature francophone par les écrivains africains francophones. Nous avons ensuite examiné les raisons pour lesquelles les écrivains africains francophones critiquent la notion de francophonie et le statut de la littérature francophone. Enfin, nous avons confirmé que la notion d‘une ‘littérature-monde en français’ met l’accent sur l’ouverture au monde et l’altérité. Bien que la notion d’une littérature-monde en français soit un discours utopique avec ses limites, il offre une nouvelle perspective du statut de la littérature francophone et suggère des orientations pour l’avenir.

      • KCI등재

        아프리카 망명 작가의 불편한 프랑스어 - 몽고 베티의 언어의식 -

        문성욱 한국프랑스문화학회 2023 프랑스문화연구 Vol.58 No.1

        이 논문은 카메룬 출신 소설가 몽고 베티가 아프리카에서의 프랑스어 사용에 대해 쓴 몇 편의 글을 다룬다. 한 세대 앞서 태어난 생고르가 프랑스어권과 ‘프랑스성’을 네그리튀드의 필수적 보완물로 삼았던 것과 달리 몽고 베티는 결코 외래의 언어에 대한 의심을 거두지 않는다. 현지어를 소외시키면서 프랑스어를 유일한 공용어로 강제하는 정책은 아프리카인의 문화와 정신에 파국적 결과를 가져오며 동시에 프랑스의 신식민주의적 이해관계에 봉사한다. 그러나 몽고 베티는 프랑스어를 즉시, 완전하게 아프리카의 고유 언어로 대체해야 한다는 언어민족주의적 입장에 빠지지도 않는다. 그는 아프리카에서 프랑스어 화자가 점차 늘어나고 있는 현실을, 근대화의 도구이자 문학의 도구로서 프랑스어의 장점을 인정한다. 프랑스어권이라는 허울을 벗어던지고 그 뒤에 숨은 ‘프랑사프리카’의 수탈 체제를 해체하여 민중의 정치·경제적 해방을 완수할 수 있다면 프랑스어도 아프리카의 언어로서 제 몫을 다할 수 있을 것이다. 몽고 베티의 이러한 성찰은 일각에서 ‘세계-문학’을 운위하는 오늘날에도 시사하는 바가 없지 않다. Cette étude a pour but d’analyser un certain nombre de textes consacrés par le romancier camerounais Mongo Beti au sujet du français en Afrique. Contrairement à Léopold Sédar Senghor, son aîné d’une génération et qui voulait compléter la négritude par la francophonie et la francité, Mongo Beti sera à jamais resté suspicieux à l’égard de cette langue exogène. En effet, la politique qui impose le français comme la seule langue officielle au détriment des vernaculaires, risque de produire des ravages dans la culture et la mentalité des Africains, tout en servant les intérêts de la France comme puissance néocoloniale. Ce n’est pourtant pas que Mongo Beti tombe dans un nationalisme linguistique prônant le remplacement immédiat et total du français par les langues autochtones. Il tient compte de l’accroissement des locuteurs du français en Afrique, aussi bien que des avantages que présente cette langue comme outil de modernisation et véhicule de littérature. Si donc les sociétés africaines arrivent à déconstruire le système pillard de la Françafrique et à accomplir l’émancipation politico-économique populaire, le français se débarrassera à son tour du joug de l’impérialisme linguistique pour devenir enfin une langue africaine. Cette réflexion n’a rien perdu de son actualité au moment même où d’aucuns affirment l’avènement de la littérature-monde.

      • KCI등재

        프랑스어권 서아프리카의 토착어 위상 - 교육 영역의 언어 사용 현황을 중심으로

        김병욱 한국프랑스학회 2015 한국프랑스학논집 Vol.91 No.-

        Ce travail a pour but, de décrire le statut des langues autochtones en Afrique francophone occidentale. Nous l’avons examiné dans le cadre du système éducatif. La situation actuelle des langues autochtones n’est pas assez stable dans cette région malgré tous les efforts déployés ; elles sont souvent dans un état très précaire. Les langues autochtones sont nécessaires pour la décolonisation complète de l’esprit africain et la restauration de la propre identité africaine. Or ici, le français, langue des ex-colonisateurs a remplacé les langues autochtones dans tous les domaines sociaux de haut niveau. La plupart des langues autochtones ne trouvent pas leur propre place en société. En ce qui concerne le système éducatif, c’est le français qui exerce le pouvoir exclusif comme langue d’enseignement sur les langues autochtones. La place accordée à celles-ci se rétrécit de plus en plus malgré les efforts de les soutenir. Mais ce qui est important, c’est que les langues autochtones sont les supports de l’identité nationale et les garants de la vie communautaire. Il est nécessaire de chercher le moyen de garder en paix le français et les langues autochtones en leur attribuant leur propre rôle. C’est le meilleur moyen de faire vivre la communauté.

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