한국 기독교의 전래(19세기 프랑스 선교사들의 종교와 그외 문화 활동의 영향) 17세기 초부터 북경을 드나드는 사신을 통하여 한자로 저술된 천주교 서적들이 조선에 드어와 지식인층에게 신...
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Denis : Universite de Paris 7, 2003
Thesis(doctoral) -- Universite de Paris 7 , [사회 문명] , 2003
2003
프랑스어
235.3 판사항(4)
253.2 판사항(21)
프랑스
406p. ; 30cm
References: p. 387-405
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한국 기독교의 전래(19세기 프랑스 선교사들의 종교와 그외 문화 활동의 영향) 17세기 초부터 북경을 드나드는 사신을 통하여 한자로 저술된 천주교 서적들이 조선에 드어와 지식인층에게 신...
한국 기독교의 전래(19세기 프랑스 선교사들의 종교와 그외 문화 활동의 영향) 17세기 초부터 북경을 드나드는 사신을 통하여 한자로 저술된 천주교 서적들이 조선에 드어와 지식인층에게 신앙의 차원이 아닌 지식의 차원에서 탐구되어졌다. 조선의 성리학은 이념적 폐쇄성으로 사회모순을 해결하기에 부적합하고 봉건 관료, 양반 지배층은 부패하여 새로운 이념을 갈망하였다. 서양 서적들에 담겨진 신문명, 과학기술은 조선사회의 모순을 해결할수있는 가능성으로 받아들여져, 실학 사상가들에게 카톨릭은 서양의 과학기술을 만들어내는 사상으로 받아들여졌다. 실학파인 남인 소장 학자들에 서학이라는 새로운 학풍이되었고, 이후 권철신 정약전 이벽등에게서 천주교 신앙이 싹트게되었다. 이벽은 진리탐구에 열심으로,북경에서 베드로란 세례명으로 세례받고 돌아온 이승훈과 1784년 말에 자발적으로 신앙공동체를 조직한것이 세계유일의 특징이다. 1831년 조선교구가 북경교구의 관할에서 벗어나 초대교구장으로 브뤼기에르 주교가 임명되고 파리외방 전교회는 계속하여 선교사를 파견하여, 모방 샤스땅 앵베르신부가 입국하여 기해박해 때에 순교했다. 1876년 강화도 조약으로 일본에게 문을 열게되어 서구 열강도 물밀듯 들어왔고 1886년에 프랑스와의 조약을 통해 선교사들에게 치외법권의특권과 포교의 자유가 주어져 교회는 계속 발전하여 고아원 양로원 교육사업에 열심을 내며 한국사회와 문화의 변화에 많은 영향을 주었다.
다국어 초록 (Multilingual Abstract)
Si les missionnaires étrangers n'ont dans l'ensemble guère remporté de succès dans le Tiers-Monde (peu nombreux sont les convertis en Afrique, en Inde, en Chine ou au Japon), en revanche la Corée constitue un cas exceptionnel, où l'évangélisat...
Si les missionnaires étrangers n'ont dans l'ensemble guère remporté de succès dans le Tiers-Monde (peu nombreux sont les convertis en Afrique, en Inde, en Chine ou au Japon), en revanche la Corée constitue un cas exceptionnel, où l'évangélisation a connu un succès inattendu.
Au point de départ de notre recherche, il était important de souligner la stratégie de pénétration des Occidentaux en Extrême-Orient par le biais du négoce, de la diplomatie, puis de la force.
Rien de tel en Corée où, nous l'avons vu, malgré les persécutions et les réfutations du dogme chrétien, dominent les jugements positifs, voire même de la reconnaissance chez les intellectuels du pays, à l'égard de l'adoption du christianisme:
« Tout d'abord le christianisme nous a donné un enseignement sur Ï'hoinnu' et le Ciel, a i1//planté chez nous tin savoir scientifique (....) Le christianisme, ayant pénétré en Corée, y a exercé une grande influence pour nous apprendre à estimer notre propre langue nationale, développer un mode de vie fondé sur les sciences (le la nature, cultiver un esprit critique rationnel, développer l'esprit national, etc. », affirme ainsi Cho Kwang. résumant l'opinion de la plupart des intellectuels contemporains.
Une conjonction de facteurs économiques, sociaux, politiques et idéologiques expliquent donc pourquoi les missionnaires ont pu si facilement faire adhérer leurs hôtes à une doctrine étrangère.
Afin de comprendre la perméabilité du contexte coréen aux idées et dogmes religieux venus d'Occident, nous avons donc tout d'abord procédé à un rappel des conditions historiques, politiques et socioculturelles qui précédèrent et entourèrent l'avènement des premiers missionnaires dans tout l'Extrême-Orient puis plus précisément en Corée.
Comme premier facteur contextuel, nous avons précisé que les premiers échanges chrétiens -confucianistes en Extrême-Orient se firent clans le sillage de Vasco de Gama au XVIe siècle, puis au XVIIe avec le développement des différents comptoirs coloniaux.
Or, en dépit des tentatives d'évangélisation qui accompagnaient les démarches commerciales, toute mission était interdite en Chine depuis déjà un certain temps.alors que dans le même temps, le christianisme s' épanouissait progressivement en Corée.
Car. plus qu'en Chine et au lapon, les théories chrétiennes trouvèrent un écho favorable sur le terreau de la crise morale et politique que traversait le régime féodal en Corée . En outre, alors que les bonzes japonais rejetèrent violemment le christianisme en associant celui-ci aux vices et aux objets des Européens, le clergé lettré coréen reconnut dans l'enseignement et les vertus des chrétiens une prolongation de la doctrine confucéenne.
En Extrême-Orient et plus encore en Corée, à l'instar du père Schall au XVIIe siècle, les missionnaires deviennent des scientifiques. Au départ, en effet, le missionnaire catholique est avant tout perçu et apprécié pour ses connaissances innovantes en matière d'astronomie, de mathématiques, de cartographie, alors que le confucianisme est essentiellement une cosmogonie.
Or, pendant longtemps, comme nous l'avons analysé, l'étude des sciences occidentales fut considérée par l'intelligentsia comme un jeu intellectuel, plutôt que comme une possibilité de développement technique. Ce sont surtout l'astronomie et les calendriers apportés par « les savants chrétiens » qui attiraient d'abord l'attention des Coréens.
Du XVIIIe au XIXe siècle nous avons indiqué en quoi la stratégie et les apports des missionnaires chrétiens se caractérisent par des allers et retours entre les contenus strictement religieux et les sphères extrareligieuses. Les livres chrétiens, accueillis dans un cercle restreint au début, suscitent peu à peu un intérêt plus large. implantant la foi chrétienne d'une manière définitive.
Par l'introduction de cartes géographiques et de traités scientifiques à la suite des contacts avec les missionnaires, les Coréens jusqu'alors isolationnistes, persuadés que l'Orient était le monde entier et croyant en la supériorité de la culture confucéenne. prennent conscience de l'existence de l'Europe et de sa civilisation. Notre recherche a pu par ailleurs mettre en évidence que la rencontre des lettrés coréens et du clergé européen s'inscrit avant tout comme une rencontre entre cieux conceptions théologiques qui s'envisagent sur un pied d'égalité des savoirs, ce qui fut loin d'être le cas pour d'autres contextes de colonisation assortie d'évangélisation forcée.
L'essor du christianisme en Corée s'explique en effet d'abord par l'important travail de mise en évidence des correspondances nombreuses existant entre les enseignements respectifs des « sages » Jésus et Confucius, né des rencontres incessantes entre intellectuels des deux bords. Clandestins au début, puis assumés par la suite, ces échanges ne furent pas initiés sous l'angle théologique mais d'abord à partir de thématiques scientificométaphysiques.
Parallèlement, au delà du renouveau moral puisé dans la rencontre avec les chrétiens pour lutter contre la corruption et le détournement des textes sacrés, les « sages-savants » coréens trouvent dans les discussions passionnées avec les Jésuites un prolongement spirituel de leur propre quête du vrai et de la connaissance du monde sensible et invisible.
Comme nous l'avons démontré. Yi Pyôk, la grande figure médiatrice et introductrice de la foi chrétienne, exerça une influence considérable sur ses pairs coréens en s'adressant plus à leur intellect qu'à leur coeur de croyant.
Comme nous l'avons également souligné, son principal ouvrage « Essence de la doctrine sacrée » relève plus d'une démonstration de la « vérité » de l'évangile que de la foi aveugle du converti illuminé par la grâce divine : Dieu n'y est plus présenté comme une entité transcendantale, mais comme un principe directeur divisé entre le LI et le KI, deux entités réunissant la matière et l'âme, le cosmos et l'élan de l'esprit .
Cette approche induit dans les âpres débats de « spécialistes » coréens et européens une forte imprégnation astronomique et pragmatique, ce qui nous fait dire qu'il s'agit là d'une approche originale dans l'histoire des missions évangélisatrices catholiques, une approche du christianisme « à la coréenne », raisonneur, imprégné de scientisme et de doute critique.
Malgré l'opposition de Rome, pour laquelle « l'adaptation » du christianisme est hérétique, et les persécutions importantes qui accompagnent l'implantation des missionnaires tant en Chine qu'au Japon et en Corée, les conversions se multiplient parmi les sphères les plus éclairées de la population. Un peu partout, se constituent de petites communautés de chrétiens indigènes issus de la noblesse savante.
Les jeunes intellectuels aristocrates, las du formalisme confucéen, s'enthousiasment au XVIIIe siècle pour ce qui leur apparaît d'abord comme une science. l'étude des textes théologiques. Naît alors une école de pensée appelée « connaissance pragmatique » (Silhak) qui, nous l'avons vu. jouera un rôle central dans la diffusion du christianisme en Corée.
I1 s'ensuit que ce pays a fini, grâce à sa rencontre avec l'Occident, par faire son entrée sur la scène internationale.
Dans l'histoire de la Corée, cet événement représente un véritable changement d'orientation. Comme le souligne Cho Hyông-yun, « depuis cette rencontre, le pays court vers le monde extérieur en s'éloignant de plus en plus de son ancienne tradition »
Cet attrait du christianisme a pour résultat sa pérennisation sur le sol coréen. C'est ainsi que, d'après des statistiques fournies par le ministère de la Culture et de l'Information, en 1983 les chrétiens représentaient 17,5% de la population (soit environ 7 000 000), dont 13,45% de protestants (5 300 000) et 4%de catholiques (1 600 000).
Cette présence chrétienne atypique, dans laquelle certains croyants voient même la réalisation d'un dessein providentiel, a quelque chose d'unique au monde, du moins pour l'Eglise catholique, « qui a été fondée sur l'initiative des Coréens euxmêmes et non par suite (les cf forts des missionnaires »
Ce succès s'explique bien, comme nous l'avons démontré, par le fait que la religion catholique fut introduite en Corée, vers la fin du XVIIIe siècle, à un moment où la société coréenne était en train de passer d'une structure ancienne à une structure moderne. Plusieurs symptômes annonçaient la quête d'une nouvelle société.
Notre recherche a notamment permis de mettre en évidence quelques facteurs importants de cette perméabilité du terreau coréen au apports chrétiens : premièrement, la rapidité avec laquelle se transmettaient les nouvelles connaissances, via des intellectuels avides de connaissances ; deuxièmement, le distinguo immédiatement opéré par les Coréens entre les deux aspects de la « Science occidentale » : la religion et la science ; troisièmement, l'attitude à la fois prudente et patiente des lettrés qui ont pris tout leur temps, environ deux cents ans, pour examiner sous plusieurs angles cette religion chrétienne ; enfin, la fondation de l'Eglise catholique par les seuls Coréens, sans l'aide de missionnaires étrangers pendant des dizaines d'années, ce qui établit durablement leur appropriation d'une identité chrétienne coréenne.
Dans de telles circonstances sociales, le catholicisme a pu pénétrer facilement en Corée et y remplir un rôle de promoteur pour la formation d'une société moderne, selon l'opinion de la plupart des historiens coréens.
En effet, rendus particulièrement utiles sur le terrain précieux des progrès commerciaux, politiques, médicaux et sociaux, les chrétiens lurent pour longtemps assimilés par la société coréenne aux progrès et à la science moderne.
Si, initialement, cc furent surtout l'astronomie et les mathématiques qui intéressaient les Coréens, ce sont peu à peu tous les champs scientifiques qui attirèrent leur curiosité, puis créèrent des émules autochtones. Devenus indispensables pour l'établissement du calendrier, ainsi qu'en architecture ou dans le secteur des travaux publics, les missionnaires, industrieux et techniciens, s'illustrèrent également dans les domaines de la botanique et de l'artisanat. Enfin, ils s'investirent dans l'imprimerie en vue de diffuser au maximum parti les esprits coréens Leurs savoirs et techniques en y glissant souvent des contenus religieux.
La signature du traité coréano-français en 1886 marquera un tournant dans le développement du catholicisme coréen, la multiplication des oeuvres sociales et culturelles qui en découla, notamment via l'arrivée des religieuses, devant accroître par la suite le rayonnement socioculturel de 1'Eglise en Corée.
Le domaine linguistique constitua un pôle éminemment central dont les enjeux rayonnèrent dans tous les échanges culturels franco-coréens. D'où l'investissement important des premiers missionnaires dans l'établissement de dictionnaires et dans le travail de traduction d'un nombre important d'ouvrages européens en coréen.
Si un amour authentique de la langue et de la culture coréennes s'est largement manifesté parmi les missionnaires, le haut clergé catholique ne perdit jamais de vue la nécessité de procéder à une adaptation conceptuelle, donc linguistique, au contexte intellectuel coréen, afin de diffuser plus facilement un dogme difficilement accessible a une civilisation peu familiarisée avec l'abstraction.
Par ailleurs, les missionnaires catholiques rivalisèrent avec leurs concurrents protestants pour créer hospices, oeuvres sociales, et écoles alors que, dans une première étape, ils visaient essentiellement l'établissement de séminaires pour former de futurs prélats d'origine coréenne. Par ce biais indirect, ils consolidaient davantage encore les bases déjà fermement ancrées sur le socle coréen de la culture occidentale, terreau propice au processus des conversions.
Aidée par ce contexte de besoin d'ouverture au progrès, l'Eglise catholique a pu agir, directement ou indirectement, sur le développement de l'histoire de Corée. On pourrait en déduire la signification qu'a eue dans l'histoire de Corée la création du vicariat apostolique de Chosôn en 1831.
Les prélats occidentaux étendirent leur influence bien au-delà du seul aspect scientifique ou diplomatique, puisqu'en raison d'un nombre important de convertis d'origine coréenne, ils profitèrent des moindres conflits mettant en cause ces derniers, pour s'immiscer dans les domaines administratif et commercial relevant des affaires intérieures coréennes. Cette immixtion constante et le règlement heureux d'un certain nombre de ces affaires ouvrirent de plus en plus les esprits coréens aux méthodes importées d'Occident
Mais se demande Cho Kwang, « l'Eglise de ce temps a-t-elle fait tout ce qu'elle pouvait et était elle capable de répondre d'une façon satisfaisante aux besoins du peuple de cette époque?. (...)
Eu effet, pour l'historien coréen, « l'Eglise n'étant ni unie organisation sociale, Iii une organisation politique, son influence louis les domaines politique et social a été limitée. En revanche, l'Eglise pouvait avoir une action plus efficace dans le domaine culturel. »
De son côté, Chang Dong-ha pose sans détours la question : « le catholicisme a-t-il contribué au développeraient de la société coréenne par l'échange scientifique et culturel avec les pays occidentaux? »
Bien que notre travail fournisse nombre d'éléments permettant de valider l'hypothèse du rôle central de la science et de la culture dans l'essor du christianisme en Corée, la littérature abondante relative à la Mission Etrangère de Paris dans ce pays nous donne des indices très contrastés quant à l'attitude des missionnaires sur le sol coréen. Oscillant entre un prosélytisme ethnocentrique et une ouverture à la culture locale, faite de fascination et d'acculturation, les échanges des missionnaires avec la population coréenne furent néanmoins régis par une stratégie d' « entrisme », clairement définie en haut lieu : il s'agissait d'utiliser tous les moyens possibles pour accroître le nombre cles conversions et implanter durablement l'église catholique sur le sol coréen. Au service de cet objectif, la science, l'éducation, la santé et la culture devaient jouer un rôle central, très vite amplifié du fait de l'intérêt que notèrent les premiers missionnaires chez leurs interlocuteurs « indigènes ».
I1 apparaît clairement à travers l'histoire de cette implantation chrétienne, que la philosophie, la science, puis la médecine et les activités socio-éducatives furent utilisées chaque fois que les missionnaires éprouvèrent le besoin d'emprunter des voies détournées pour être acceptés.
Dans les périodes plus calmes on trouve en effet des traces d'une volonté des missionnaires de limiter les activités d'ordre scientifique pour recentrer leur influence sur la foi, car ces religieux s'étaient rendu compte que celle-ci pouvait être mise en péril par les excès de la raison.
Par ailleurs, compte tenu de la pérennisation du rejet provoqué par l'introduction forcée du christianisme dans la plupart des pays d'Asie où celui-ci a tenté de s'exporter, on ne peut donc nier les conséquences ambivalentes des missions, d'une part pourvoyeuses de progrès, et d'autre part rejetées pour leur para-colonialisme.
Cette relativisation récente des apports extrareligieux des missionnaires laisse entrevoir sous quel angle la question a éventuellement pu être abordée jusqu'ici par les chercheurs chrétiens.
Leur attitude manquant d'objectivité - on pourrait même la qualifier de « sentimentale » - elle les a peut-être empêché de regarder en face et d'expliquer certains phénomènes sensibles qu'on constate actuellement en Corée, tels que L'expérience du Saint-Esprit', la multiplication des sectes, les réunions de prière à l'aube, les rencontres à domicile ou à l'extérieur pour réanimer la foi.
Ainsi, selon Cho Hyông-yun. « les chercheurs chrétiens se contentent d'exprimer leur inquiétude e11 considérant tout simplement ces phénomènes commune des aspects d'une sorte (le chamanisation du christianisme. Leur attitude et leur, façon (le voir les choses ne sont pas, en fait, sans' lien avec la mentalité coréenne relative à la religion(...) Pour bien comprendre le christianisme en Corée, 1l est nécessaire, d'une part, de le comparer avec la façon aç'on dont 1l est pratiqué dans les autres pays d 'Extrême-Orient et, d'autre part, de l'envisager à l'intérieur de l'ensemble des religions de la Corée.»
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