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      ‘savoir que p’의 비사실성 : 한국어 ‘알다’와의 비교 연구 = Non-factivité de savoir que p: une étude comparative avec al-ta en Coréen

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      다국어 초록 (Multilingual Abstract)

      Il a été récemment étudié que les verbes épistémiques «savoir» dans les langues altaïques montrent en général l alternance de factivité. Par exemple, le verbe al-ta ‘savoir’ en coréen peut avoir un usage à la fois factif et non-factif selon les types de complémenteur (ou postposition en coréen): (-n) kes -ul al-ta ( la clause nominalisée + l’accusatif, l’usage factif) ou (-n) kes -uro al-ta. (la clause nominalisée + le locatif (ou le reportatif), l’usage non-factif) Comme dans la plupart des langues, le verbe épistémique savoir en français présuppose la factivité du complément p avec la forme savoir que p. Cependant ce n est pas toujours le cas. Autrement dit, il arrive qu’il ait une valeur non-factive. Par ailleurs, depuis le 19e siècle, de nombreuses études ont déjà démontré la non-facivité de savoir que p. C’est pourquoi le verbe savoir peut être classé à la fois, comme un verbe cognitif factif et comme semi-factif, au même titre que know en anglais. Afin de contribuer à ce courant de recherches, cette étude vise à comparer la non-factivité des verbes savoir en français et al-ta en coréen, dans divers contextes tels que la négation, la question, l’hypothèse, le discours rapporté et la modalité. Ce faisant, nous explorerons aussi le rôle des attitudes holders (à savoir une personne sujet). Cette étude montre que la non-factivité de savoir en français est affectée par des contextes sémantico-pragmatiques alors que celle de al-ta en coréen decoule des éléments formels syntaxiques. D’autre part, cette étude analyse l’expression immuable je ne sache pas dont le verbe savoir présente les caractéristiques d’un verbe non-factif et permet la montée de la négation, et met en évidence les situations particulières dans lesquelles elle est utilisée. Il s’agit de cas spécifiques tels que «la réfutation» ou «une réaction imaginaire» polie et soutenue, à une réclamation antérieure alors que le sujet narrateur (je) a une preuve partielle de ce à quoi il est en train de faire référence.
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      Il a été récemment étudié que les verbes épistémiques «savoir» dans les langues altaïques montrent en général l alternance de factivité. Par exemple, le verbe al-ta ‘savoir’ en cor&#...

      Il a été récemment étudié que les verbes épistémiques «savoir» dans les langues altaïques montrent en général l alternance de factivité. Par exemple, le verbe al-ta ‘savoir’ en coréen peut avoir un usage à la fois factif et non-factif selon les types de complémenteur (ou postposition en coréen): (-n) kes -ul al-ta ( la clause nominalisée + l’accusatif, l’usage factif) ou (-n) kes -uro al-ta. (la clause nominalisée + le locatif (ou le reportatif), l’usage non-factif) Comme dans la plupart des langues, le verbe épistémique savoir en français présuppose la factivité du complément p avec la forme savoir que p. Cependant ce n est pas toujours le cas. Autrement dit, il arrive qu’il ait une valeur non-factive. Par ailleurs, depuis le 19e siècle, de nombreuses études ont déjà démontré la non-facivité de savoir que p. C’est pourquoi le verbe savoir peut être classé à la fois, comme un verbe cognitif factif et comme semi-factif, au même titre que know en anglais. Afin de contribuer à ce courant de recherches, cette étude vise à comparer la non-factivité des verbes savoir en français et al-ta en coréen, dans divers contextes tels que la négation, la question, l’hypothèse, le discours rapporté et la modalité. Ce faisant, nous explorerons aussi le rôle des attitudes holders (à savoir une personne sujet). Cette étude montre que la non-factivité de savoir en français est affectée par des contextes sémantico-pragmatiques alors que celle de al-ta en coréen decoule des éléments formels syntaxiques. D’autre part, cette étude analyse l’expression immuable je ne sache pas dont le verbe savoir présente les caractéristiques d’un verbe non-factif et permet la montée de la négation, et met en évidence les situations particulières dans lesquelles elle est utilisée. Il s’agit de cas spécifiques tels que «la réfutation» ou «une réaction imaginaire» polie et soutenue, à une réclamation antérieure alors que le sujet narrateur (je) a une preuve partielle de ce à quoi il est en train de faire référence.

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      목차 (Table of Contents)

      • 1. 들어가는 글 2. ‘savoir que p’의 비사실성 3. 사회적 의미 4. 나오는 글
      • 1. 들어가는 글 2. ‘savoir que p’의 비사실성 3. 사회적 의미 4. 나오는 글
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