De's le premier sie'cle le latin connai^t le grand bouleversement vocalique (passage d'une opposition de quantite' a` une opposotion de timbre), ce qui entrai^ ne le changement du latin parle' dont le plus important est le phe'nome`ne de diphtongaison...
De's le premier sie'cle le latin connai^t le grand bouleversement vocalique (passage d'une opposition de quantite' a` une opposotion de timbre), ce qui entrai^ ne le changement du latin parle' dont le plus important est le phe'nome`ne de diphtongaison.
La diphtpnaison commene par la voyelle accentue'e en syllable ouverte. Et puis elle s'e'tend jusqu'a` la voyelle accentue'e ou non acentue'e suivie par la consonne palatalise'e.
Il se distingue donc 3 grands types de formation de diphtongues:
-- la diphtongue d'une voyelle accentue'e, ce processus se diffe'renciant luime^me en 2:
ⅰ) la diphtongaison spontane'e, pour toute voyelle acentue'e en syllable libre et pour toute voyelle d'un monosyllabique tonique.
ⅱ) la diphtongaison conditionne'e, limite'e aux voyelles ouvertes accentue'e lorsqu'elles se trouvent devant un son paltal ou palatalise'.
-- la coalescence
ⅲ) la diphtongaison de coalescence, cela re'sulte de l'union d'une voyelle et d'un son semi-vocalique d'une origine d'un son palatalise'.
An de'but, les diphtongues latines e'taient Lourdes parce qu'elles avaient deux point squelettiques en un noyau. Au fur et a` mesure de l'e'volution, elles en perdent une pour avoir la structure de contour, ce qui veut dire qu'elles sont deenues les diphtongues le'ge`re dont un son est devenu le glide.
la diphtongue franc¸aise issue du latin es donc classe'e sons vocaliques instables se de'finissant comme la prononciation en une seule syllable de deux sons dont le premier est une voyelle et l'autre une semi-voyelle.
Nous avons analyse' les phe'nome`nes de diphtongaison d'apre`s la the'orie de KLV, qui a pour but d'expliquer tous les phe'nome`nes phonlogiques par des compositions et des de'compositions des e'le'ments.
Cette the'orie nous fait voir qu'il y a une untie' dominante d'une certaine forme en relation avec une ou plusieurs unite's suordonne'es dans tous les phe'nome`nes phonologiques.
En appliquant cette the'orie aux phe'nome`nes diphtongaisons du latin au franc¸ais, nous avons cherche' a` e'claircir la plausibilite' des phe'nome`nes phonologiques et a` en e'claircir le cours naturel.
Avec cette the'orie, on n'a pas espe're' re'soudre tous les phe'nome`nes, mais on a pu avoir la possibilite' d'y acce'der d'une fac¸on explicative.