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        사르트르의 참여문학론(II) : 독자를 위한 문학

        변광배(BYUN, Kwang-Bai) 프랑스학회 2012 프랑스학연구 Vol.62 No.-

        Nous avons observé, dans une autre étude qui constitue la première partie de cette recherche, les fondements théoriques à cause desquels la théorie de l'engagement littéraire de Sartre se dirige vers le lecteur. A cette occasion, nous avons montré pourquoi l'acte d'écrire de l'écrivain doit se diriger vers le lecteur. La collaboration de ce dernier est un élément décisif dans le salut littéraire de l'écrivain, à savoir dans la réalisation de sa fusion du pour-soi-en-soi. Or, ce à quoi nous devons faire attention, c'est que comme écrivain, le lecteur est également de la réalité humaine. Tout ce qui s'applique à l'écrivain s'applique aussi au lecteur. Comme celui-là, celui-ci veut réaliser la fusion du pour-soi-en-soi, donc son salut pendant toute sa vie. De plus, l'acte d'écrire est primordial chez l'écrivain, tandis que l'acte de lire n'est que secondaire chez le lecteur. De là découle en effet l'élément qui menace sans cesse la tentative de se sauver par l'acte d'écrire de l'écrivain : le lecteur peut refuser de collaborer au mécanisme du salut litéraire de l'écrivain. Dans cette situation, Sartre s'efforce de frayer les chemins du salut littéraire de l'écrivain. D'abord, celui-ci s'adresse directement au lecteur. Ce faisant, il reconnaît sa liberté et lui donne son oeuvre. En ce sens, l'acte d'écrire devient la générosité et le don. Mais Sartre voit que ces nouvelles notions contiennent en elle-mêmes celle de la destruction. L'écrivain peut être en danger encore une fois à cause du refus possible de la collaboration du lecteur. Dans cette situation désespérante, l'écrivain donne finalement au lecteur le droit de lui demander d'écrire pour eux. Si l'écrivain accepte ce droit et que le lecteur assume sa responsabilité de lire l'oeuvre créée par l'écrivain, l'acte de lire devient alors une exercice de don et de générosité. C'est grâce à cette aide que ce dernier peut réaliser la fusion du pour-soi-en-soi. C'est là que l'art d'écrire par autrui, à savoir par le lecteur se transforme en art d'écrire pour autrui, autrement dit pour le lecteur. Nous pouvons en conclure que la théorie de l'engagement littéraire de Sartre se caractérise par le fait que l'écrivain écrit d'abord pour se sauver et qu'ensuite il tente de sauver les autres.

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        장 자크 루소의 『고백』에 나타난 고백의 전략

        박아르마 ( Arma Park ) 한국불어불문학회 2013 불어불문학연구 Vol.0 No.96

        Dans Les confessions Jean-Jacques Rousseau s`engage comme au tribunal de la verite a ``dire la verite, rien que la verite, toute la verite`` au lecteur. Il invite le lecteur a juger l`homme, Rousseau a travers son oeuvre ``authentique`` ; Il etablit avec le lecteur le contrat de la facon la plus radicale. Donc le lecteur est force de verifier ce que Rousseau a dit dans le recit autobiographique : croire ou soupconner. Dans la premiere partie des Confessions Rousseau confesse les peches de son enfance : ses desirs dans le chatiment recu par la main de Mlle Lambercier, le vol d`un ruban, une chasse aux pommes. Rousseau avoue ses fautes et ce qu`il a fait, mais ses confessions ne composent qu``un acte de purification`` de ses fautes : il n`ecoute que son devoir de ``tout dire`` et plaide non coupable. Et il confie au lecteur la tache de verifier son authenticite : ce n`est pas a moi de juger de l`importance des faits, je les dois tous dire, et lui laisser le soin de choisir., Les confessions liv. 4 Dans la deuxieme partie des Confessions Rousseau avoue les peches de l`abandon de ses enfants et veut dissiper le malentendu avec son contemporain : les reproches contre sa retraite, sa solitude et Emile. Il semble que Rousseau avoue sa faute de l`abandon de ses enfants, mais dans un instant, il met l`accent sur la faute de ses ennemis : le trait meme est si clair, qu`apres un tel passage il est surprenant qu`on ait eu le courage de me la reprocher. Le lecteur ne doit pas donc reprocher Rousseau, parce qu`il a publiquement avoue sa faute. Nous ne pensons pas a verifier l`authenticite des aveux de Rousseau. Cependant son contrat avec le lecteur n`est plus juste lorsqu`il dit au lecteur que c`est a moi d`etre vrai, c`est au lecteur d`etre juste. Rousseau ne permet pas au lecteur la communication reciproque. Quand meme Rousseau dit sans cesse au lecteur ``qu`il ne veut plus parler.`` Dans ce paradoxe, nous trouvons son desir de la communication particulierement solide que meme la mort ne pourra interrompre.

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        스탕달과 독자론

        조성웅(Seong-Woong CHO) 프랑스학회 2018 프랑스학연구 Vol.0 No.85

        D’une part, dès le début de sa carrière d’auteur, Stendhal ne cachait pas son ambition littéraire. Comme La Transfiguration de Raphaël a été admirée pendant deux siècles et demi, il a voulu travailler toujours à ses plus beaux sujets pour faire des ouvrages sublimes et immortels. Stendhal croit que cinquante ans après sa mort, Shakespeare était devenu comme un auteur inconnu. Etant donné que ses contemporains ne savent ce qui restera de ses oeuvres, l’illusion de la postérité lui reste de manière constante. A son avis, savoir ce que l’on dira du temps présente dans cinquante ans est la prétention de tous les romanciers. D’autre part, même si Stendhal est fidèle à son idée profondément narcissique d’écrire un ouvrage qui ne plairait qu’à lui seul, il définit le roman comme l’art de se faire lire. Si son roman n’a pas assez de chaleur pour faire veiller ses lecteurs jusqu’à deux heures du matin, il n’a pas besoin de le faire. Par conséquent, la difficulté n’est plus de trouver et de dire la vérité romanesque, mais de trouver qui la lit. Stendhal a constamment donné rendez-vous au lecteur de 1880 ou de 1935. Bien qu’il parle à des gens dont il ignore absolument la tournure d’esprit, le genre d’éducation, les préjugés et la religion, ces lecteurs à venir ou les happy few stendhaliens ont ceci de particulier : ils possèdent des âmes supérieures et nobles avec lesquels Stendhal aimerait passer des soirées, et par lesquels son oeuvre peut être appréciée. Le désir d’être romancier qui n’aura de génie qu’aux yeux de quelques êtres privilégiés se réalisera au cours du temps. Ainsi la publication d’Armance en 1827 est accueillie froidement non seulement par la presse et les lecteurs parisiens mais par les amis de Stendhal. Toutefois, après plusieurs décennies de critiques négatives, la complexité thématique et psychologique du roman commence à être appréciée par les happy few. Le succès et la gloire littéraires de longue durée tiennent bien moins à la qualité propre des oeuvres qu’aux conditions de réception. Le roman de Stendhal n’est jamais écrit pour tous les lecteurs. Entre les petites bourgeoises de province et les dames de Paris, entre les femmes de chambre et les femmes des salons, il faudrait prendre son parti et écrire pour le gros public ou pour les happy few, car l’auteur ne peut plaire à la fois à tous les deux. Stendhal choisit particulièrement le lecteur intelligent et bénévole qui est capable de comprendre ses enjeux littéraires : silence, litote, euphémisme, ellipse du temps fort, etc. Par exemple, Stendhal revendique une certaine absence destinée à rendre l’intensité de l’émotion sans passer par les procédés bavards. Cette stratégie d’écriture ne vise en aucun cas à l’adhésion du gros public mais ne touche qu’une lecteur d’élite, car elle a l’intention de faire réfléchir le lecteur, et par conséquent susciter chez lui le travail de tête et le plaisir de la reconnaissance des non-dits et implicites en anticipant les stades successifs. On peut analyser aussi la psychologie de l’auteur. L’intention de Stendhal de n’écrire que pour un petit nombre de lecteurs reflète l’impossibilité de communiquer son intimité à l’égard de sa mère au grand public ou à ses contemporains, de même que la difficult&eacut

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        파스칼의 『팡세』에 나타난 ‘인간’ 읽기

        김화영 한국프랑스학회 2015 한국프랑스학논집 Vol.90 No.-

        Notre étude a pour objectif de montrer la signification de l’«homme» dans les Pensées de Pascal, au point de vue biographique et rhétorique. Tout d’abord, nous avons trouvé que, dans le cas de Pascal, la relation entre la vie et l’œuvre est particulièrement importante. Il faut noter que le vécu de Pascal pénètre les Pensées d’une façon essentielle. Cette œuvre contient en effet, pour beaucoup, d’écrits de circonstance. Nous pouvons envisager l’homme Pascal, dans les Pensées, à travers de trois facteurs d’unité qui se dégagent de la diversité complexe du vécu : ① facteur qui s’établit entre Paris et la province, ② celui qui oppose santé et maladie et ③ celui qui corresponde à trois axes autour desquels s’organisent la vie de Pascal, la science, le monde et Dieu. Le tout fournit un excellent fil conducteur pour exploiter l’homme Pascal, dans les Pensées. Entre la vie et l’œuvre existe donc une sorte de relation étroite. Chacune d’elles renvoie à l’autre. C’est par ce mouvement de va-et-vient que s’enrichit la connaissance totale de Pascal. Ensuite, l’examen de l’«homme» au point de vue rhétorique dans les Pensées, révèle une double pratique : éloigner l’«homme» de façon à en faire un objet de regard et un objet de connaissance face au sujet qui enquête, position qu’occupe l’apologiste et qu’il fait partager à son lecteur. En revanche, rapprocher l’«homme» du lecteur et de l’auteur jusqu’à d’assimiler l’objet au sujet. L’investigation du sujet s’examine lui-même dans un mouvement de va-et-vient entre homme et pronoms personels, je/nous. Le remplacement d’«homme» par ces pronoms personnels de première personne fait glisser le regard du contenu de texte vers celui qui le lit, lecteur. Il y a une véritable mise en scène des Pensées, où le lecteur ne sait plus donc s’il est spectateur ou acteur. Le dispositif rhétorique force le lecteur à s’identifier au «je», à écouter, à discuter et comme le veut Pascal, à «chercher» la vérité. Le «je», dans les Pensées, marque la permanence d’une individualité, mais perpétuellement changée et étrangère à elle-même : «je» est un autre. Les Pensées sont, au fond, une sorte de piège subtil où le lecteur n’échappe que vaincu et persuadé. L’autre remplacement d’«homme» se montre dans l’élévation de l’homme au rang de «roi» et son ravalement au niveau du «peuple». Le «roi» est chargé de manifester pleinement la duplicité de la nature humaine : «roi dépossédé», en exil loin de son royaume natal. Le remplacement d’«homme» par «peuple» montre que l’homme dans son ignorance essentielle est peuple. On peut donc dire qu’à la réalité de la condition humaine convient mieux l’appellation de «peuple», plus précise que celle d’homme.

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        몽테뉴의 ‘독자’와 자유인의 공동체 - 『수상록』 3권 1장에 대하여

        최권행 ( Choi Kwon Hang ) 한국프랑스고전문학회 2012 프랑스고전문학연구 Vol.15 No.-

        “Au lecteur” des Essais restera une sorte d’énigme ou une simple préface purement formelle, quand on n’aura pas lu d’autres chapitres plus sérieux et plus lourds. Le premier chapitre du livre III, ''De l’utile et de l’honneste'', se compose curieusement de la même structure et des mêmes éléments que cette préface. Nous pouvons donc comparer, malgré les différences de longueur comme de densité, les deux textes, ce qui nous amènera à comprendre le vrai projet des Essais et la véritable position du lecteur de Montaigne. Montaigne constate dans ce chapitre les divers vices de l’humanité, de la société humaine et de son temps. Cette vision péssimiste reconnaît l’existence de maux indéracinables sur la terre. Témoin de son temps comme médiateur entre deux camps ennemis de la guerre civile religieuse, il se conduit néanmoins contre la tendance dominante, sans ruse ni masque. C’est une sorte de pari sur la confiance, dans la mesure où les autres pourront abuser de son ouverture et de sa sincérité. Son expérience montre que chacun attend, sans en être conscient, un signal de confiance de la part de l’autre, et est prêt à y répondre de son côté. Pour arrêter le cycle infernal de la méfiance et démarrer un nouveau cycle de confiance, Montaigne a dû briser la peur banalisée de la méchanceté des autres. Une fois accompli cet acte de libération, il lance un défi à toutes sortes de variations du principe de peur, à commencer par le réalisme politique selon la Raison d’État, la convoitise cachée sous le voile de la cause générale, l’utile écrasant l’honnête. Lire les Essais, c’est être invité à s’affranchir du joug de la méfiance et à accepter de rejoindre les amis égaux et à coeur ouvert. Être lecteur de Montaigne, c’est aussi créer avec lui un cercle moral, qui seul possède la possibilité de déboucher de nouveau sur ''ces nations qu’on dict vivre encore sous la douce liberté des premières loix de nature''.

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        저자, 텍스트, 독자 - 문학에 관한 해석학적 고찰

        이기언 ( Kie Un Lee ) 한국불어불문학회 2014 불어불문학연구 Vol.0 No.100

        Toute approche de la problematique litteraire risque d`etre inutile, sinon sterile. Ainsi conclut Antoine Compagnon, auteur d`un imposant ouvrage Le Demon de la theorie, en le cloturant par cette phrase bien pesee mais un peu consternante tout de meme : “La perplexite est la seule morale litteraire.” Cela n`empeche pourtant aucunement d`ouvrir un nouveau debat sur le sujet, a condition que l`on s`y engage avec une conception litteraire, precise et coherente, et finalement bien definie, fondee sur l`epistemologie critique qui la couvre comme il faut. Pour notre instrument de travail, nous allons donc recourir a l`hermeneutique phenomenologique et ontonlogique, professee par Hans-Georg Gadamer et Paul Ricoeur, deux eminents representants de la discipline. Notre sujet est la relation triangulaire, constituee par les trois elements essentiels de la litterature : auteur, texte et lecteur. On sait bien que le debat sur cette problematique a une vieille et longue histoire qui peut se traduire grosso modo en conflit incessant entre l`intentionnalisme et l`anti-intentionnalisme, depuis la theorie de Sainte-Beuve jusqu`a l`hermeneutique moderne, en passant par le New Criticism americain des annees trente et la nouvelle critique francaise des annees soixante au siecle dernier. Mais nous n`allons pas entrer une fois de plus dans une querelle futile entre les deux conceptions critiques diametralement opposees, mais bien au contraire, nous nous bornerons a definir notre position sur le statut de l`auteur, l`autonomie du texte et la subjectivite du lecteur, a l`aide des reflexions hermeneutiques qui les eclairent sur le plan epistemologique. La conception hermeneutique, d`obedience gadamerienne et ricoeurienne, nous amene a la conclusion suivante : 1) le sens du texte n`appartient pas a l`intention de l`auteur, mais bien a ce que dit le texte lui-meme , 2) grace a l`ecriture, le texte acquiert une triple autonomie semantique : par rapport a l`intention de l`auteur, a la reception par l`auditoire primitif, aux circonstances sociales et culturelles de sa production , 3) en s`appropriant “le monde du texte”, le lecteur parvient a se comprendre soi-meme pour decouvrir “un soi autre que le moi” ou “un soi plus vaste”, qui est constitue par “la chose du texte” et qui est donc “l`oeuvre de la lecture et le don du texte”. Il ne va pas sans dire que cette conclusion ne resout point toute la problematique litteraire qui reste et restera plus ou moins intacte pour toujours. Hans-Georg Gadamer a dit : “L`interpretation ne peut pas prendre la place de l`oeuvre interpretee”, avant d`y ajouter : “C`est lorsqu`une interpretation est prete a disparaitre de cette facon qu`elle est juste.” C`est exactement cela que nous eprouvons au terme de notre investigation sommaire. Ainsi dirons-nous plutot : la litterature, c`est la litterature , en d`autres termes, la pierre philosophale, au sens originel de l`expression, est la pierre philosophale au sens figuratif , et donc, la litterature est “le desir” dans le sens que Rene Char lui a donne, c`est-a-dire “l`infini”. Et tout simplement, nous dirons aussi avec Hegel : “l`oeuvre est.” Tant que l`oeuvre “est”, la litterature survit. Heureusement, pour nous. Justement, nous nous rappelons ici cet adage formidable de Paul Valery : “Le meilleur ouvrage est celui qui garde son secret le plus longtemps. Pendant longtemps on ne se doute meme pas qu`il a son secret.” Absolument. Pour terminer, nous citons un mot de Camus, qu`il a trace sur un manuscrit inedit, en redigeant une preface a l`edition americaine de L`Etranger, plus de dix ans apres sa parution : “Une oeuvre litteraire est toujours a la recherche de son sens.”

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        한국인 학습자들의 프랑스어 텍스트 읽기 능력향상을 위한 교수 방안 : 총괄적 접근법을 중심으로

        홍승현 한국프랑스어문교육학회 2014 프랑스어문교육 Vol.47 No.-

        Dans cet article nous avons envisagé l'étude sur des stratégies pédagogiques, qui sont susceptibles d'améliorer de manière efficace les compétences de lecture en français pour des apprenants coréens. Pour ce faire nous avons étudié des caractéristiques de l'écrit, en particulier <<les instances>> que propose J. Peytard. Le rôle du scripteur - sujet qui écrit, plume à la main - envisagé dans cette étude nous a amené à souligner, pour l'activité de la lecture, l'importance du repérage des indices qu'il laisse dans son texte. De cela nous en revenons à mettre en évidence du fait que le lecteur ne peut aborder au sens du texte qu'à travers des indices repérés. Le repérage s'effectue toujours à l'aide des connaissances antérieures que posséde le lecteur. Cette perspective a montré que la lecture et la compréhension écrite se réalisent naturellement par l'interaction que fait le lecteur avec le scripteur : c'est donc la communication entre eux. D'où suit que le lecteur est considéré comme co-énonciateur et comme co-constructeur du sens du texte. Ainsi conçu, nous avons envisagé l'approche globale des textes écrits, étant stratégie pédagogique basé sur l'idée de la communication écrite et nous l'avons appliqué à un texte journalistique donné du DELF, niveau A2. Ensuite, nous avons fait quelques réflexions sur l'adoption de l'approche globale dans l'enseignement de la lecture de textes français pour des apprenants coréens. D'où nous avons retenu la nécessité de cette adoption en raison de faire sensibiliser des indiecs textuels et faire briser la lecture linéaire. En plus, cette stratégie pédagogique permet aux apprenants d'améliorer toutes les compétences de lecture : compétences linguistique, discursive, référentielle, socio-culturelle. De là, nous pensons qu'en classe de langues les textes doivent être existés à la fois comme objet de communication et comme objet dans lequel les apprenants apprennent à communiquer dans la langue cible.

      • 마르 16,6-7에서 예고되는, 갈릴래아에서의 부활하신 예수와 제자들의 만남이 마르코복음의 독자에게 주는 영향

        김승부(Kim, Seungboo) 수원가톨릭대학교 이성과신앙연구소 2014 이성과 신앙 Vol.56 No.-

        마르코복음은 갈릴래아에서 예수와 제자들이 만날 것을 예고하면서 끝을 맺는다. 이것은 복음을 읽는 독자로 하여금 여러 가지 질문을 스스로에게 제기하게 만든다. 본 논문의 목적은 마르 16,6-7에서 전해지는 이 예고가 독자에게 어떤 영향을 미치는가를 탐구하는 것이다. 복음서에서 추정되는 독자의 이미지에 대한 고찰과 마르 1-9장에서 보도되는, 예수의 갈릴래아 활동에 대한 연구는 다음과 같은 영향을 마르 16,6-7이 독자에게 주리라고 추정하게 한다. 독자는 마르코복음의 시작으로 돌아가 다시 예루살렘으로 가는 예수의 여정을 걷도록 초대되고, 갈릴래아에서 복음을 선포하는 예수의 신원과 그의 활동과 그에 따른 고난을 예루살렘에서 이루어지는 그의 수난과 죽음과 부활의 시각에서 바라보도록 인도된다. 독자는 아울러 당신을 저버리고 떠난 제자들을 새롭게 부르시는 예수의 자비와, 자신이 일상에서 행하는 그리스도인으로서의 소명 실천의 깊은 의미를 발견하도록 초대된다. L'évangile de Marc se termine par l'annonce de la rencontre de Jésus ressuscité avec ses disciples(Mc 16, 6-7), sans rapporter sa réalisation. Cela entraîne le lecteur à poser plusieurs questions. L'objectif de cet article est de rechercher les effets de cette annonce sur le lecteur. L'observation de l'ensemble de l'image du lecteur relevée au cours de la lecture de l'évangile, et celle des activités missionnaires de Jésus en Galilée, rapportée en Mc ch. 1-9, permettent de déceler quelques effets en question. Le lecteur est en effet conduit à retourner au début de l'évangile pour recommencer l'itinéraire de Jésus vers Jérusalem, et à voir l'identité de Jésus qui proclame le Royaume de Dieu en Galilée à la lumière de l'événement pascal. Il est aussi invité à découvrir la miséricorde du Ressuscité pardonnant ses disciples qui l'ont délaissé lors de la Passion, en les appelant à le suivre de nouveau, ainsi que le sens profond de la mission chrétienne qu'il remplit dans son quotidien.

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        저자의 죽음과 귀환: R. 바르트를 중심으로

        변광배 ( Kwang Bai Byun ) 韓國世界文學比較學會 2013 世界文學比較硏究 Vol.45 No.-

        Le principal objectif de cette etude est de revisiter la fameuse declaration de la mort de l`auteur qui est faite en 1968 par R. Barthes et qui est suivie de celles de la transition de l`oeuvre au texte et de la naissance du lecteur. Dans la longue tradition des etudes litteraires, l`auteur se trouve toujours au centre de toutes les interpretations de son oeuvre en detenant en lui-meme le dernier critere selon lequel il les juge. Cela parait evident, d`autant plus qu`elle est consideree comme produit de l`ex nihilo dans la mesure ou inspire des Muses dans sa creation, l`auteur y investit tout ce qui porte sur son esprit. C`est justement en ce sens-la qu`on peut parler du statut d`alter ego de cette oeuvre par rapport a son createur. Ce dernier exerce ainsi tous ses droits dans l`interpretation de son oeuvre. Il est d`ailleurs indeniable que sous la domination totale de l`auteur, le lecteur n`occupe qu`une place secondaire dans sa lecture. Or, R. Barthes tente de desacraliser l`autorite de l`auteur en declarant la mort de ce dernier. Considere jusqu`ici comme une espece de Demiurge, l`auteur pretend qu`en cachant le secret de sa creation, son oeuvre est nee de l`ex nihilo. Pourtant, ce qui se passe reellement au cours de sa creation, c`est qu`en faisant exister son oeuvre, il tisse un texte en puisant bien des elements dans d`autres oeuvres deja existantes. C`est la que surgit la notion de texte a la suite de l`effondrement de celle d`oeuvre. Depuis la transition de l`oeuvre au texte, l`auteur est depourvu de droits avec lesquels il juge toutes les interpretaions de son texte. Au contraire, il n`est qu`un invite dans la lecture de son texte au lieu d`en etre lecteur privilegie. Bref, il n`est qu`un auteur de papier dans le sens exact ou il perd tous ses droits de juger toutes les interpretations de son oeuvre, ce qui se traduit par sa mort. Par rapport a ce phenomene, R. Barthes avance que cette mort est accomagnnee de la naissance du lecteur. Ce qui est pourtant curieux, c`est qu`apres cette declaration de la mort de l`auteur, R. Barthes se dirige petit a petit vers le retour de l`auteur. Le premier signe est apparu dans Le Plaisir du texte publie en 1973. Il nous semble que le veritable moment de cette basculation est justement la mort de sa mere. Depuis cet evenement majeur, il souffre, selon sa prpopre expression, de la marinade ou de l`acedie d`ou il reussit a sortir avec un projet d`ecrire un roman dont le titre suppose est la Vita Nova. En preparant ce roman, il s`efforce de concretiser ce projet durant ses cours au College de France entre 1978 et 1980. Mais ces efforts s`arretent par sa mort qui s`est brutalement survenue par l`accident de voiture. Or, ce qui attire notre attention dans cette prepartion du roman qui est d`ailleurs le titre d`un ouvrage posthume publie en 2003, c`est qu`il revient sur la declaration de la mort de l`auteur en pretendant le retour de ce dernier. On peut en reperer entre autres trois raisons de cette pretention : par l`acte d`ecrire, immortaliser ceux qu`on aime, s`immortaliser et finalement faire valoir ce qu`on est. Et c`est surtout en essayant de satisfaire son fantasme d`ecrire qui est etroitement lie a la formule suivante : je suis celui qui produit une oeuvre, que R. Barthes tente de confirmer la necessite du retour de l`auteur dans le champ des etudes litteraires.

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        메타픽션과 18세기 소설의 자의식 : 디드로의 경우를 중심으로

        김계영 ( Kye Young Kim ) 韓國世界文學比較學會 2011 世界文學比較硏究 Vol.36 No.-

        ‘Metafiction’ est un terme donne a l`ecriture de fiction qui attire, consciemment et systematiquement, l`attention sur son statut comme un artificiel afin de poser des questions sur la relation entre fiction et realite. Le texte de fiction sera ``metafictionnel`` s`il invite a une prise de conscience critique de lui-meme. La metafiction appelle donc l`attention du lecteur non seulement sur le fonctionnement de l`artifice de la fiction, mais aussi sur sa creation, sa reception et sa participation aux systemes de signification de la culture. Le terme est peut-etre nouveau, pourtant la pratique est aussi vieille, sinon plus, que le roman lui-meme. Nous proposons ainsi de comparer la ressemblance entre la metafiction post-moderne et la fiction du dix-huitieme siecle. Nous nous interesserons surtout a l`auto-reflexivite de la metafiction et a la prise de conscience de soi dans les romans de Diderot. Les textes romanesques de Diderot sont remplis de divers procedes narratifs qui remettent en cause des formes de la vie et de la representation; l`emploi du paratexte, le developpement de formes de satire ou de parodie, les formes ludiques pour interpreter l`opacite des signes, l`intrusion du lecteur-narrataire par l`intermediaire des questions et des commentaires, l`accumulation de ‘pseudo-digression’ realisee par la liberte quasi-royale de l`auteur-narrateur paradoxalement contrainte d`accepter la transaction narrative, les coincidences entre la continuite et la discontinuite destinees a pousser le texte a se dire texte et a exhiber les traces, etc. Les formes en fonction desquelles Diderot structure ses histoires peuvent alors etre facilement percues comme relatives. On peut donc comprendre que, pour fugitive qu`elle ait pu etre, une telle prise de conscience ait pu deboucher au moins ponctuellement sur un certain nombre de pratiques ``metafictionnelles`` qui eurent pour effet de mettre en evidence leur relative artificialite ainsi que leur dimension ``fabriquee``. Une telle ressemblance nous permet de rendre compte au moins en partie que Diderot ait ete amene a s`engouffrer dans un espace de liberte qui s`entrouvrit pour produire un roman dont l`apparition ne doit pas etre rapportee a l`originalite de son auteur ou a son genie. La ``mort du roman`` que pretendent les postmodernistes et la ``naissance du roman`` pourraient s`entremeler ou se coincider a l`interieur meme du roman qui demande une prise de conscience critique du texte, car la metafiction est essentiellement une tendance ou une fonction inherente a tous les romans.

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