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        불어권 아프리카인의 정치민주화, 경제회생, 사회발전에 관한 인식연구 : 사하라이남 불어권 아프리카인 여론조사를 중심으로

        김승민(Kim Sung-Min) 한국아프리카학회 2006 한국아프리카학회지 Vol.23 No.-

        This article presents the results of a pan-Francophone African opinion survey carried out by our research team. This survey aims to identify the attitudes of a sample of 22 French-speaking African countries citizens regarding Democracy, Economic recovery and Development. The survey showed us that across French-speaking African countries the majority of respondents are dissatisfied with the current performance of their democracies, economies and general national development. However, we discovered that popular satisfaction with development varies greatly between countries. Survey results show that respondents from a few countries such as Mauritius and Mali -where democratization and economic reform are strongly installed- are much more satisfied with general development than those from other countries. On the other hand, respondents from countries like Congo(kinshasa), Cameroon and Chad-where dictatorship, endemic corruption and poor pace of economic reform prevail, are clearly the most dissatisfied group. Also, the majority of respondents regard corruption as the primary obstacle to development facing their countries. The above results suggest that Francophone-African countries need to make greater efforts to accomplish three priorities for national development, namely, Democratization, Good Governance and Economic reforms. Furthermore, we found that more than half of the people surveyed are dissatisfied with the market-based economic reforms recommended by the International Monetary Fund(IMF) and the World Bank. However, the majority of respondents identified that the main causes of their country's current economic crisis are not the policies of the IMF, but their own inherent national problems, such as political instability, corruption and economic mismanagement by their political leaders. We therefore conclude that all Francophone-African countries must implement market reform to enable a sustained economic recovery. Finally, we found that almost all African respondents support regional economic integration between African countries: nearly 90% of respondents think that regional integration could play a positive role for the economic development of their respective countries. This regional integration could serve to enhance cooperation, internal trade and stimulate sustained economic growth within the African continent.

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        식민주의, 언어, ‘프랑스어권’ 흑아프리카

        오은하 서울대학교 불어문화권연구소 2011 불어문화권연구 Vol.21 No.-

        Des appellations comme Afrique “francophone” ou Afrique “anglophone”, etc., posent le problème de l’héritage colonial. Néanmoins si nous appelons souvent “l’Afrique noire francophone”, des pays anciennement colonisés par la France, situés dans la région subsaharienne, c’est au moins partiellement pour la raison que les pays en question se regroupent dans le secteur “francophone”. C'est de leur propre initiative, après la décolonisation, qu’est fondée l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF). D’ailleurs, presque tous les pays de cette région donnent à la langue française le statut de langue officielle, bien que le nombre de locuteurs du français y reste très faible. L’Organisation de la Francophonie affiche son but comme la défense de la “diversité culturelle et linguistique” contre la monopole de l’anglais dans le monde entier. Pourtant, il nous semble que l’idéologie de la “francophonie” tente de défendre les privilèges anciens du français qui a été contraint de céder à l’anglais son statut de langue internationale. De plus, la situation linguistique des pays d’Afrique francophone montre que cette même idéologie s’élève tout autant contre les revendications des minorités quant à leur propre droit linguistique fondamental. Au lieu des langues autochtones africaines, c’est le français qui y est imposé comme la langue de l’administration et de l’éducation. En faveur de ce statut du français comme langue officielle, des gouvernements africains mettent en avant des raisons comme la facilité de communication, la possibilité plus grande de prendre place dans la communauté internationale et l’anticipation des avantages économiques. La multiplicité des langues autochtones et le taux d’analphabétisme très haut justifient ce choix. Mais d’un autre côté, il y a de fortes oppositions à ce statut inversé du français et des langues africaines. D’une part, on constate le fait que le statut officiel du français n’a que peu de relations avec son usage par la population. La francophonie de l’Afrique subsaharienne semble ê̂tre dû̂e à la francisation linguistique de certaines couches sociales, qui partagent depuis l’ère de la colonisation la conviction mythique de la “clarté française” et de la “mission civilisatrice” associée à la langue française. D’autre part, certains s’opposent à la domination linguistique dans la perspective du nationalisme ou du post-colonialisme. Parce qu’ils considèrent leur langue comme fondement de l’identité nationale et intermédiaire de la culture traditionnelle, certains revendiquent le soutien et le développement des langues africaines. Deux tentatives représentatives de cette démarche ont été la politique linguistique pour la décolonisation culturelle de Guinée, et le mouvement “Kàddu” de Sénégal contre la dépendance à la France mené par le gouvernement de Senghor. Mais l’échec de ces deux tentatives a montré plusieurs problèmes difficiles autour de la domination linguistique. Entre le rejet total de la langue colonisatrice ou sa réappropriation pour s’exprimer, les débats continuent.

      • KCI등재

        식민주의, 언어, `프랑스어권`흑아프리카

        오은하 ( Eun Ha Oh ) 서울대학교 불어문화권연구소 2011 불어문화권연구 Vol.21 No.-

        Des appelLations comme Afrique "francophone" ou Afrique "anglophone", etc., posent Le probLeme de L`heritage colonial. Neanmoins si nous appelons souvent "L`Afrique noire francophone", des pays anciennement colonises par La France, situes dans La region subsaharienne, c`est au moins partielLement pour La raison que Les pays en question se regroupent dans Le secteur "francophone". C`est de Leur propre initiative, apres La decolonisation, qu`est fondee L`Organisation InternationaLe de La Francophonie (OIF). D`ailLeurs, presque tous Les pays de cette region donnent a La Langue francaise Le statut de Langue officielLe, bien que Le nombre de Locuteurs du francais y reste tres faibLe. L`Organisation de La Francophonie affiche son but comme La defense de La "diversite culturelLe et linguistique" contre La monopoLe de L`anglais dans Le monde entier. Pourtant, il nous sembLe que L`ideologie de La "francophonie" tente de defendre Les priviLeges anciens du francais qui a ete contraint de ceder a L`angLais son statut de Langue internationaLe. De plus, La situation linguistique des pays d`Afrique francophone montre que cette me?me ideologie s`eleve tout autant contre Les revendications des minorites quant a Leur propre droit linguistique fondamental. Au lieu des Langues autochtones africaines, c`est Le francais qui y est impose comme La Langue de L`administration et de L`education. En faveur de ce statut du francais comme Langue officielle, des gouvernements africains mettent en avant des raisons comme La facilite de communication, La possibilite plus grande de prendre pLace dans La communaute internationaLe et L`anticipation des avantages economiques. La multiplicite des Langues autochtones et Le taux d`analphabetisme tres haut justifient ce choix. Mais d`un autre co te, il y a de fortes oppositions a ce statut inverse du francais et des Langues africaines. D`une part, on constate Le fait que Le statut officiel du francais n`a que peu de reLations avec son usage par La popuLation. La francophonie de L`Afrique subsaharienne semble etre due a La francisation Linguistique de certaines couches sociaLes, qui partagent depuis L`ere de La colonisation La conviction mythique de La "cLarte francaise" et de La "mission civilisatrice" associee a La Langue francaise. D`autre part, certains s`opposent a La domination linguistique dans La perspective du nationalisme ou du post-colonialisme. Parce qu`ils considerent Leur Langue comme fondement de L`identite nationaLe et intermediaire de La culture traditionnelle, certains revendiquent Le soutien et Le developpement des Langues africaines. Deux tentatives representatives de cette demarche ont ete La politique Linguistique pour La decolonisation culturelLe de Guinee, et Le mouvement "Kaddu" de Senegal contre La dependance a La France mene par Le gouvernement de Senghor. Mais L`echec de ces deux tentatives a montre plusieurs probLemes difficiLes autour de La domination linguistique. Entre Le rejet total de La Langue colonisatrice ou sa reappropriation pour s`exprimer, Les debats continuent.

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        La littérature vietnamienne francophone, existe-t-elle? : l’atypie de l’espace littéraire du Vietnam et de l’œuvre de Linda Lê

        김보현 프랑스문화예술학회 2022 프랑스문화예술연구 Vol.82 No.-

        Certains chercheurs essaient de reconnaître la littérature francophone vietnamienne comme un espace littéraire cohérent dans le cadre des littératures francophones. Cette tentative est cependant problématique dans la mesure où la littérature vietnamienne francophone diffère considérablement des autres littératures francophones, d’abord dans le sens historique. Contrairement aux cas québécois et congolais, où la langue française et la littérature écrite en cette langue se sont développées tout en contribuant à l’expression de l’identité nationale au Vietnam, le français se trouvait dans un rapport de rivalité avec le quôc ngu, la langue vietnamienne et la littérature vietnamienne d’expression française s’est manifestement étiolée. Les intellectuels vietnamiens bilingues de l’époque, maîtrisant la langue française et le quôc ngu, se sont dirigés vers la traduction d’œuvres littériares françaises dans leur langue nationale. En tenant compte de ces faits historiques et de la pénurie des oeuvres pour former un corpus, ainsi que l’univers littéraire de Linda Lê, figure la plus remarquable dans cet espace littéraire, qui prétend cependant n’appartenir ni au Vietnam ni en France, l’existence institutionnelle de la littérature vietnamienne francophone mérite un examen plus attentif.

      • KCI등재

        프랑스어로 된 ‘세계-문학’ 개념 고찰 : 프랑스어권 아프리카 작가들의 견해를 중심으로

        유치정 한국프랑스학회 2023 한국프랑스학논집 Vol.124 No.-

        Cet article vise à éclairer la notion d’une ‘littérature-monde’ en français’ présentée par les 44 écrivains en 2007. Cette notion est née d’une remise en cause du statut de la francophonie et de la littérature francophone. Nous examinons d’abord la problématique de l’usage du français et de la littérature francophone par les écrivains africains francophones. Nous avons ensuite examiné les raisons pour lesquelles les écrivains africains francophones critiquent la notion de francophonie et le statut de la littérature francophone. Enfin, nous avons confirmé que la notion d‘une ‘littérature-monde en français’ met l’accent sur l’ouverture au monde et l’altérité. Bien que la notion d’une littérature-monde en français soit un discours utopique avec ses limites, il offre une nouvelle perspective du statut de la littérature francophone et suggère des orientations pour l’avenir.

      • KCI등재

        프랑스어권 흑아프리카 지역과 프랑스어

        최은순 ( Choe Eun Sun ) 한국불어불문학회 2003 불어불문학연구 Vol.0 No.56

        Nous nous proposons dans ce travail d`expliciter les caracte´ristiques de la situation socio-linguistique en Afrique noire francophone. Il est ne´cessaire de pre´ciser les situations concurencielles entre le francais et les langues africaines ; d`un point de vue fonctionnel, il s`agit d`un double bilinguisme diglossique (soit langue officielle/langue nationale soit celle-ci/langues autochtones). La situation linguistique de l`Afrique est largement de´termine´e par un ensemble de facteurs historiques, ethniques, e´conomiques, etc. Cette complexite´ s`explique bien par ce que la majorite´ de pays africains a adopte´ la politique de non-intervention selon laquelle le francais obtient le statut de premier langue officielle, tout en donnant a` leurs propres langues celui de langues nationales ou de langues locales. Pour le moment, cette politique est conside´re´e comme une solution indispensable pour l`e´vincement des conflits ethniques, le de´veloppement e´conomique et l`unite´ nationale. On peut donc indiquer qu`elle n`est qu`une strate´gic temporaire dans l`environnement e´conomique et politique. En re´alite´, d`un point de vue de´mographique le francais est parle´ par peu de francophones, soit moins de 10% de population, bien qu`il surpasse les langues africaines dans des domaines publics comme syste`me e´ducatif, le´gislation, administration, politique, etc. Il n`est qu`une langue e´conomique et politique, utilise´e par certaines e´lites. En plus, en Afrique francophone comme ailleurs, le francais est de plus en plus menace´ par l`he´ge´monie mondiale de l`anglais, ce qui ne favoriserait pas l`avenir du francais. Nous concluons done que le rapport de pouvoir e´conomique et politique jouera un ro^le de´cisif pour garantir le statut privile´gie´ de francais, comme les langues africaines le sont.

      • KCI등재

        프랑스어권 아프리카의 언어 문제 - 토착어, 언어민족주의와 공용어 편력 사이

        김병욱 한국프랑스학회 2015 한국프랑스학논집 Vol.89 No.-

        Ce travail a pour but d’examiner le statut des langues locales de l’Afrique francophone. Le point de départ de notre travail est tel que les langues autochtones sont indispensables pour le maintien de l’identité nationale et le développement durable du continent. Cependant nous constatons que la situation réelle n’est pas du tout favorable au destin des langues locales africaines. Nous avons considéré dans ce travail deux cas qui manifestent des aspects très négatifs autour de cette question : l’Algérie et la Guinée équatoriale. En Algérie, l’arabe classique du Coran est tout au-dessus des langues locales au nom du ‘nationalisme linguistique’ et du ‘pan- arabisme, du pan-islamisme’. Les dirigeants algériens s’en servent comme support idéologique, non pas de communication, pour l’islamisation du pays. On est obligé d’utiliser, au détriment des langues régionales, l’arabe classique qu’on ne parle pas. Il en va de même pour le français, langue de l’ex-colonisateur ; le français n’est pas une langue de prestige pour eux. Ici les langues autochtones ne trouvent nulle part leur raison d’être. En Guinée équatoriale, il en va à la fois ‘de même’ et ‘autrement’ qu’en Algérie. C’est parce que les langues locales sont sous la domination absolue des langues européennes ex-colonisatrices. ‘Autrement’ c’est que ce pays continue activement à chercher une issue aux difficultés économiques au moyen des langues internationales, espagnol, français et portugais. Ce faisant, nous avons constaté qu’il est indispensable de trouver une collaboration des deux types de langues pour le développement de l’Afrique francophone. Il est bien nécessaire d’avoir une mentalité ouverte à la fois à l’intérieur et à l’extérieur. C’est pourquoi nous insistons sur le bi- ou trilinguisme y comprenant une langue autochtone dans cette région. Il faut dire pour conclure que le développement durable de l’Afrique francophone sera possible sur la base de la diversité linguistique et culturelle, appuyée sur l’identité nationale exprimée en langues autochtones.

      • KCI등재

        Afrique anglophone vs. Afrique francophone : Mythes et réalités d’une rivalité économique

        Eyssette, Jérémie 한국프랑스학회 2023 한국프랑스학논집 Vol.123 No.-

        Selon un mythe bien établi, les pays africains anglophones auraient une économie plus développée, ou en tout cas plus performante, que celle des pays africains francophones. Pour comprendre les origines de ce narratif, notre étude compare le modèle colonial français plus contraignant et administratif, au modèle anglais, de gouvernance dite « indirecte », et donc prétendument plus propice à la liberté d’entreprendre. De ce décalage colonial découleraient les écarts de croissance économique entre les zones anglophone et francophone. Pourtant, l’examen des performances économiques des pays africains après les indépendances ne révèle pas d’avance anglophone jusqu’au début des années 2000, au contraire. Par la suite, un léger décrochage de la zone francophone n’est souvent que la résultante de critères restrictifs, voire spécieux, se focalisant sur les pays de la Communauté de l’Afrique de l’Est ; sur la seule période allant de 2001 au début de la pandémie en 2019 ; ou encore, sur les économies dopées par les Investissements Directs Etrangers (IDE) et les programmes d’Aide Publique au Développement (APD). Pour élucider ce hiatus entre mythes et réalités, notre étude explore finalement l’hypothèse selon laquelle les avatars militaire et monétaire de la Françafrique déteindraient sur notre perception des économies des pays africains francophones, mais pas nécessairement sur leur vitalité économique.

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        L’éducation pédagogique et culturelle pour les enfants : <Bonjour France>

        김종서 한국영상문화학회 2013 영상문화 Vol.0 No.21

        L’education pedagogique et culturelle pour les enfants est le travail le plus important pour l’avenir de notre societe. L’Alliance Francaise Incheon et l’arrondissement de Namgu dans la ville d’Incheon ont cree ensemble ce projet <Bonjour France>. Ce dernier a ete mis en place au CAMF(Centre des arts numeriques pour la jeunesse de Namgu) au mois de septembre en 2009. Nous faisons decouvrir gratuitement la langue francaise et la culture francophone au travers d’un programme specialement concu et adapte a ce jeune public. Le but est d’ameliorer l’education de la langue francaise et de la culture francophone a la jeunesse de notre ville et de renforcer les liens avec la communaute d’Incheon. Il sert aussi pour l’avenir de nos enfants qui souhaiteraient devenir des specialistes politiques et culturels dans le monde. <Bonjour France> est dispense en deux groupes qu’il faut bien separer etant donne la difference d’age et leur niveau francais. Le premier groupe que nous appelerons la <classe A> est compose d’un public d’enfant de 8 a 11 ans. Le deuxieme, la <classe B>, est compose d’un public plus age. Le cours se deroule dans un systeme tres specialise avec la conception pedagogique et culturelle. Nous ne demandons pas aux enfants de memoriser directement, mais plutot d’appeler leur imagination et leur curiosite. Ils apprennent donc atravers divers programmes culturels(jeux, contes, bandes dessinees...). La <classe A> est destinee aux enfants qui decouvrent la langue et la culture francaises pour la premiere fois. Le cours est d’une duree de deux heures. La premiere heure est un cours de langue, la deuxieme, un cours culturel. Les enfants sont en general tous debutants et n’ont aucune notion du francais. Les enseignants francais et coreens se retrouvent face a des enfants qu’ils vont encourager et animer. Le professeur natif enseigne la langue en francais et les coreens enseigent la culture francophone en coreen. En se basant sur une approche actionnelle, les enfants deviennent des acteurs dans la classe et presentent leur imagination et leur curiosite. Avec la gestuelle, ils commencent a parler des choses qu’ils aiment et a poser des questions simples. <La classe B> correspond aux eleves qui sont deja venus plus de 6 mois. Ils sont plus ages et plus matures puisqu’ils sont desormais tous collegiens. Le cours est un apprentissage plus pousse avec des regles de grammaire et du vocabulaire plus riche. Il est possible de creer en meme temps un projet lingustique et culturelle. Le projet de blog, de chanson, encore de conte sur tablette numerique. L’objectif reste toujours de proposer des activites ludiques tout en decouvrant la culture francophone. Le programme permet aussi de faire participer pleinement les enfants aux cours et de les rendre acteurs de <Bonjour France>. Grace au succes de notre programme, les parents de <Bonjour France> participent a nos actions pedagogiques et culturelles. Ils ont cree eux-meme <Bonjour France Maman>qui est une association de benevoles. Leur but est de montrer la diversite culturelle et encourger la creativite des enfants. <Bonjour France> n’existe pas uniquement pour montrer la langue et la culture francaise, mais egalement pour faire connaitre la diversite culturelle et en comprendre les differences. C’est ainsi que nos enfants pourront avoir plus d’imagination et plus de curiosite et qu’ils pourront comprendre la tolerance et porter une autoreflextion sur eux-memes.

      • KCI등재

        언어식민주의와 아프리카의 언어 수용 양상 – 프랑스어권 아프리카의 이해를 위한 접근

        김병욱 한국프랑스학회 2012 한국프랑스학논집 Vol.79 No.-

        Ce travail a pour but, d’examiner la situation linguistique où se trouve actuellement l’Afrique francophone. Il s’agit de voir si les Africains ont obtenu réellement leur liberté au niveau de la question des langues depuis leur émancipation des forces colonialistes. Nous avons décrit la situation globale du continent africain du point de vue linguistique. Ce faisant, on a pu avoir la référence par rapport à laquelle on peut juger l’état des choses de l’Afrique francophone en la matière. Après avoir considéré les aspects du colonialisme linguistique, nous avons d’abord examiné la situation linguistique de l’Afrique par ordre chronologique. Ensuite les avis des spécialistes africains (au moins d’origine africaine) sur la question du choix de la ‘langue africaine’. Les Africains estiment toujours ‘une’ liberté totale, plus ardemment qu’avant. La réalité, cependant, ne leur perment pas de réaliser leur rêve contre toute espérance. Il y a toujours dans les sociétés africaines un grand décalage entre le rêve et la réalité. Les fantômes des anciens colonisateurs sont toujours là ; ils exercent encore une grande influence sur toute la société africaine, bien sûr sur la pratique langagière sous forme de néo-colonialisme. Il est vrai qu’il existe en Afrique le conflit entre les langues autochtones et les langues dominantes importées. Il s’agit plus précisément d’une ambivalence entre l’accueil et le refus, la résistance face à la domination des langues européennes, surtout le français et l’anglais. À partir de toutes ces réflexions, nous constatons que défendre sa propre langue, c’est de défendre l’identité et la culture de la nation. Cet effort doit s’accompagner de la prise de conscience de soi-même des nations, et de leur entente mutuelle. Tout cela constituera la base du développement durable du monde.

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