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        돈 주앙 이야기 속 여성인물과 여성성 : 몰리에르를 중심으로 프랑스고전에서 현대작가까지

        김덕희(Deok Hee KIM) 프랑스학회 2016 프랑스학연구 Vol.75 No.-

        L'histoire de Don Juan consiste des deux contes separes: l'un est celui d'un abuseur, selon l'appellation de Tirso de Molina, le premier auteur de cette histoire, et l'autre, celui du festin avec un mort. Ce qui nous vient aujourd'hui generalement a l'esprit, ce serait le premier, l'aventure d'un seducteur insatiable. a propos de la conquete des nombreuses femmes effectuee par Don Juan qui n'aurait jamais finie si la Statut ne l'avait arretee, Zupan ;i ; fait remarquer surtout la repetitivite et suppose que celle-ci provient de l'indifference de Don Juan envers les femmes. Autrement dit, Don Juan ne donne pas d'importance a la difference entre les femmes. Si Don Juan ne cesse pas de les seduire, ce n'est pas que chaque femme ait quelque chose particuliere en elle, mais c'est qu'elles ont un point commun: femme. Don Juan, voulant conquerir cette femme, repete son action. Pourtant Lacan nous a laisse la fameuse proposition dans son seminaire: La femme n'existe pas. D'apres Zupan ;i ;, cette proposition ne dit pas de l'oppression des femmes dans la societe patriarcale. C'est parce que celle-ci meme cele le vide de la position des femmes dans le Symbolique. Ce que la propostion lacanienne nous laisse entendre, c'est plutot l'existence meme du vide. Et la rencontre des femmes avec Don Juan revele ce vide qui a ete laisse indefini jusqu'alors et provoque un bouleversement dans l'ordre symbolique. Les femmes avec Don Juan deviennent celles qui n'etaient pas dans le Symbolique. Ces femmes en tant que ≪pas-tout(e)≫ embarrassent et inquietent les hommes. Par ailleurs, i ek expliquant la logique de ≪pas-tout(e)≫ de Lacan, evoque le rapport entre l'universel et l'exception. En insistant sur l'exception, il prend l'exemple d'un groupe des femmes seduites par un homme seducteur. Ces femmes, meme si elles sont regroupees sur un liste, ont chacune sa particularite dans sa liason avec le seducteur, et chacune son propre motif dans sa rencontre avec lui. Cette idee nous amene a penser aux femmes seduites par Don Juan. Avec cette vision on pourrait reevaluer les femmes qui etaient toujours considerees comme objets du desir dans ce mythe. Il est pretendu que les ≪mille et trois≫ femmes sont enregistrees dans le ≪catalogue≫de Don Juan. C'est un reserve des femmes d'ou les auteurs peuvent rappeler quelques-unes comme leur personnages en leur donnant des noms et des caracteres comme ils veulent. Comme Moliere, auteur classique les appelle Elvire ou Charlotte, Schmitt, auteur contemporain, les nomme Hortense de Hauteclaire, Angelique de Chiffreville etc. Mais celui-ci leur donne des titres et des professions egalement. Elles ne sont donc plus seulement les femmes de Don Juan mais ont leurs propres identites. Don Juan de Moliere declare qu'il ne seduit pas, mais qu'il cede a la beaute qui le ravit partout. La beaute est un point commun des femmes. Mais ce qui ne le laisse pas se contenter d'une seule beaute, c'est le vide qui suit apres. Par la succession de l'obtention il croit eviter ce vide et garder la beaute durant; et enfin la beaute pas vide. Mais justement le desir de conquerir de ce vide constitue celui d'un sujet; et c'est bien celui de Don Juan. Les femmes chez Moliere restent au niveau d'un objet a conquerir malgre le remarque de Rousset qui voit un desir dans le personnage d'Elvire. C'est plutot dans les œuvres

      • KCI등재

        지식의 주체로서의 여성 - 몰리에르의 『여학자들Les Femmes savantes』을 중심으로

        신은영 ( Shin Eunyoung ) 한국불어불문학회 2016 불어불문학연구 Vol.0 No.108

        Cette etude fait partie d`un projet de recherche sur la formation du sujet moderne occidental a travers les discours litteraires francais du XVIe et du XVIIe siecle. Dans cet article, on va aborder la problematique de la femme en tant que sujet du savoir a travers quelques oeuvres de Moliere. Depuis la Renaissance, les femmes assumaient un role important dans la civilisation des moeurs et la vulgarisation du savoir a travers des cercles ou des salons mondains presides par elles. Avec le progres des sciences modernes, les femmes ont de plus en plus de desir de devenir le sujet du savoir, suivant en ce sens l`augmentation generale de l`interet intellectuel. L`etablissement de la monarchie absolue contribue d`une part a la formation du sujet feminin dans la mesure ou la vie mondaine de la cour a besoin de minimum de culture des femmes. Toutefois, le conformisme presuppose de la politique de Louis XIV ainsi que la morale bourgeoise fondee sur patriarcat vont exprimer leur antipathie sur les femmes intellectuelles. Au sein meme des salons, il existait deux tendances contraires : le feminisme mondain ou regnait le `bon sens` et le feminisme intellectuel ou prevalait la pedanterie. En fait, l`acces des femmes a la culture etait rendue possible par l`exclusion du pedantisme dans la vie mondaine puisqu`elles etaient exclues de l`education scolaire. Or a travers cette vie mondaine, elles en viennent a s`interesser aux sciences au sens propre. Le cartesianisme a aussi contribue a la formation du sujet-feminin dans la mesure ou il presuppose la raison, des memes facultes intellectuelles chez la femme que chez l`homme. En analysant les oeuvres de Moliere situees au moment ou se confrontent ces deux mouvements contradictoires et complementaires, on pourrait donc reveler quelques aspects de cette femme-sujet (du savoir). Dans l`Ecole des maris et l`Ecole des femmes, des peres-maris oppressifs, qui imposent l`education des filles restreinte au menage, sont rendus ridicules par l`auteur qui defend `l`Ecole du monde` respectant la nature des femmes. Les precieuses, ces sujets feminins du salon, peuvent elles aussi etre rendues ridicules quand elles affectent de savoir en imitant mal les vraies precieuses, dont M. de Scudery. Ce qui est paradoxal, c`est par Scudery elle-meme, une vraie precieuse et intellectuelle, que le mot `femme savante` a pris une valeur pejorative en designant, soit une pedante, soit une femme qui fait la savante sans toujours l`etre. C`est le cas des `femmes savantes` de Moliere qui se piquent du savoir demesure et inadequat, fonde sur le dualisme extreme reprouvant le corps ; elles refusent ainsi le mariage parce qu`il est le `noeud de la matiere` et qu`il asservit la femme. En fait ce qui est condamne par Clitandre, ce raisonneur molieresque, ce n`est pas leur aspiration au savoir, mais la pretention au savoir envisage comme un moyen de se rebeller contre leur condition et leur nature. C`est le cas surtout de Philaminte qui tente de prendre pouvoir sur son mari, alors que sa superiorite vient pourtant du fait qu`elle a su fonctionner sur deux modes de production: le corps et l`esprit. C`est plutot Henriette, apparemment conformiste, qui est `savante sans le savoir` parce qu`elle consentit au materialisme moniste respectant ainsi la nature humaine et l`ordre social. Le denouement est problematique dans la mesure ou les `femmes savantes` restent toujours `savantes` meme si l`ordre semble etre retabli par le dernier ordre du pere. Malgre la creation des caracteres feminins ridicules, on ne pourrait pas dire que Moliere est misogyne parce qu`il exprime la meme repugnance pour le pedantisme des hommes. Si la femme savante est exploitee desormais comme un personnage ridicule, cela devrait etre compris dans le contexte ideologique qui impose l`ordre social fonde sur la hierarchie des sexes. La formation du sujet feminin sera faite dans le conflit de ces mouvements contradictoires d`emancipation et d`oppression.

      • KCI등재

        몰리에르 극에 나타난 "교양인 여성"

        신은영 ( Eun Young Shin ) 한국불어불문학회 2014 불어불문학연구 Vol.0 No.99

        Selon J. Morel, les ``ridicules`` molieresques definissent negativement un type d``homme : ``l``honnete homme`` qui est raisonnable, s``efforce au naturel et ne se pique de rien. Dans le theatre de Moliere, il est souvent represente par le ``raisonneur``. Or l``idee d``honnetete se trouve au coeur de son oeuvre, aussi bien dans l``homme que dans la femme. Ce que nous allons examiner dans cet article, ce sont les aspects de cette ``honnete femme``. Au XVIIe siecle, l``ideal de l``honnetete s``est defini parallelement pour l``homme et pour la femme : ils possedent l``art de plaire qui consiste a s``accommoder a l``esprit des autres. L``honnetete est faite de moderation et de mesure ; elle s``oppose avant tout a l``affectation. Ils doivent etre naturels(c``est-a-dire accord entre etre et paraitre) et raisonnables(c``est-a-dire pouvoir de discerner le masque et le visage). Mais, si les deux modeles sont semblables, la difference des sexes se marque dans certains conditionnements. Meme si l``honnete femme, munie de certaine culture non scolastique, se trouve au centre de la vie mondaine, ses aspirations doivent se contenir dans le role propre de la femme defini par la morale chretienne. Cette tendance va se renforcer dans la deuxieme moitie du XVIIe siecle. Dans le theatre de Moliere, les aspects de l``honnete femme sont d``abord dessines en creux par les ``ridicules``, dont le defaut se converge a l``affectation. Ce sont les precieuses(affectation de classe sociale), les prudes(affectation de vertu), les coquettes(affectation de sentiment) et les femmes savantes (affectation de savoir). Parmi les personnages feminins de Moliere, on trouve rarement une honnete femme typique, comparable au ``raisonneur``, sauf Eliante dans le Misanthrope. Pourtant plusieurs personnages possedent certaines qualites de l``honnete femme : Agnes ``naturelle`` dans l``Ecole des femmes, Uranie ``raisonnable``, dans la Critique de l``Ecole des femmes, qui jouit de la vie de societe, Elmire, dans Le Tartuffe, qui represente l``honnete femme ideale dans la famille. Quant a Eliante, elle montre plus de discretion et de clarte que son double masculin Philinte dans la mesure ou elle garde un juste milieu entre l``ideal de la sincerite et la complaisance. L``idee d``honnetete se trouve au centre du theatre de Moliere dans la mesure ou l``art de plaire est la fin communement poursuivie par l``honnete homme et par la comedie: ce que Moliere essaie de faire, c``est de faire rire les honnetes gens. L``interpenetration s``opere donc entre l``art d``ecrire et l``art de vivre, entre l``esthetique et la morale: les honnetes gens doivent ``jouer``, ainsi que les acteurs, pour plaire a leur public. Or cet ideal d``honnetete se change dans la deuxieme moitie du XVIIe siecle ou les honnetes gens deviennent des ``hypocrites`` dans la mesure ou ils se masquent uniquement pour plaire, tout en reconnaissant la faussete de cet art de vivre. C``est le commencement d``un nouvel ideal d``homme de bien qui va remplacer celui d``honnete homme. Eliante, cette honnete femme dans le Misanthrope, qui estime la sincerite d``Alceste, annonce ainsi ce changement qui va s``accomplir au XVIIIe siecle.

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        라블레 소설에서 여성의 존재론적 의미

        권국진(KWON, Kuk-Jin) 프랑스학회 2009 프랑스학연구 Vol.50 No.-

        Au Moyen Age, deux courants existent. Si Guillaume de Lorris, dans la premi?re partie du Roman de la Rose, se fait le d?fenseur des femmes, Jean de meun, dans la seconde, se r?v?le misogyne et brocarde avec virulence cet ?tre faux, vicieux et menteur. Le chancelier de l'Universit? Gerson et Christine de Pisan lui reprochent sa malveillance. De nombreux auteurs se sont disput?s au sujet des femmes : en 1513, Tiraqueau avec son oeuvre De Legibus connubialibus s'oppose ? Amaury Bouchard et son Apologie du sexe f?minin en 1515. De m?me, Cornelius Agrippa d?fend les femmes dans Pr?cellence du sexe f?minin en 1529, alors que Gratian Dupont se montre antif?ministe dans Controverses des sexes masculin et feminin en 1534. La publication du Tiers Livre se rattache ? une grande querelle qui a passionn? les esprits, de 1542 ? 1550, et qui a divis? des ?crivains francais. Il s'agit de la "Querelle des femmes", qui trouve dans l'apparition de L'Amie de court de La Borderie, puis de La Parfaicte Amye, en 1542, l'occasion de se rouvrir un d?bat entre les d?fenseurs et les adversaires ?ternels du sexe f?minin. Les ouvrages pour ou contre se succ?dent. Cette "Querelle des femmes" portait sur la nature des femmes. On distingue en la mati?re deux th?ses oppos?es qui se maintiennent durant le Moyen Age et la Renaissance. La premi?re, de tradition gauloise, d?veloppe dans ;'ensemble des vues n?gatives sur la nature des femmes. Le seconde, qualifi?e de tradition id?aliste par Abel Lefranc, sublime au contraire la femme. On a dit que Rabelais est un partisan de la tradition gauloise. Dans la "Querelle des femmes", il ne semblait pas ?tre du c?t?de la femme. Dans cette tradition, la femme manque de sagesse. Elle est criarde, mal plaisante, bavarde et acari?tre. Chez Rabelais, elle est encore hypocrite, inconstante, touhours d?sireuse de se saisir du fruit d?fendu et de connaitre. Tant?t la femme est une excellente cr?ature, tant?t un animal dangereux, lascif, arrogant, n'en faisant qu'? sa t?te. Ces rapprochements montrent que Rabelais est bien loin d'avoir d?pouill? en lui l'homme du Moyen Age. C'est la culture, ce sont les id?es m?di?vales qui ont pr?sid? ? sa formation premi?re. A notre ?poque, la r?putation de Rabelais comme antif?ministe date de l'?tude d'Abel Lefranc. Celui-ci fonde son jugement principalement sur l'avis avanc? par Fran?ois de Billon dans son Fort inexpugnable de l'honneur du sexe f?minin de 1555. Si Rabelais ?tait bien le plus t ine des misogynes, pourquoi son nom n'est-il pas ?voqu? plus s s snt dans la controverse? C'est essentiellement dans les discours de Rondibilis qu'il faut chercher des arguments pour d?fendre une pareille th?se. Mais nous ne pensons pas que les vues de Rondibilis sont antif?ministes ou misogynes selon les crit?res de l'?poque de Rabelais. En plus, nous ne croyons pas qu'il repr?sente dans un wens tout particulier les v?ritables id?es de Rabelais. Il est bien clair que Rondibilis n'incarne pas ;'antif?minisme ou la misogynie. Son r?le n'est pas de faire valoir une opinion antif?ministe outr?e comme contrepoids ? un f?minisme extr?miste chez Hipothad?e. En effet, l'antif?minisme est mort au XVIe si?cle, mais le misogamie et ? la st?rilit? autoritaire des ordres monastiques, mais il ne va pas pour autant chercher du renfort dans les rangs des agit?s de la propagande f?ministe. Il d?montre en peu de mots ce qu'

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        보들레르와 女子 (Ⅱ)

        김창수 한국프랑스학회 2011 한국프랑스학논집 Vol.75 No.-

        Dans ce travail inspiré de la lecture du poème préliminaire des Fleurs du Mal « Au Lecteur », qui peut être considéré comme un autoportrait sans retouches et une sévère autocritique, nous avons étudié le sujet de <Baudelaire et la Femme> dans le monde des Fleurs du Mal et du Spleen de Paris, du point de vue de la « Morale » des Paradis artificiels. A travers cette étude concernant le point du vue du poète à l’égard de la Femme, nous avons pu apercevoir deux visages de Baudelaire, l’un qui serait paganiste sensuel et hédoniste et l’autre anti-naturaliste et moraliste. Par ailleurs, nous avons constaté que Baudelaire n’était pas un adorateur mystique de la Femme perçue comme une sauveuse spirituelle ou révélatrice de l’Absolu. Baudelaire a utilisé la Femme comme un instrument de plaisir vers lequel ses tendances paganistes l’ont sans cesse entraîné. Ce qu’il y a de plus important chez Baudelaire, c’est qu’en dépit de l’accusation sans pitié selon laquelle l’intelligence morale du dandy anti- naturaliste a porté contre la Femme, et malgré son insuffisance réelle, Baudelaire, poussé par sa nature hédoniste et par l’espoir de l’oubli du remords et de l’ennui, et à cause de son mal de volonté, n’a pas échappé à la Femme, à son poison-antidote. Ce cercle vicieux, ce drame éternel qui poursuit Baudelaire nous éclaircit sur un point de départ, c’est-à- dire la recherche continue du plaisir éphémère et coupable de l’amour avec la Femme, ainsi que sur le point d’arrivée de son spleen, cet amalgame d’angoisses et de remords. Baudelaire utilise notamment les caractéristiques de la Femme pour exprimer ses opinions sur l’Humanité en général, c’est-à-dire l’Homme déchu par le Mal. Pour Baudelaire, l’Homme et la Femme sont tous les deux des pécheurs pervers et coupables. La misogynie de Baudelaire ne représente donc qu’une part de la misanthropie du dandy baudelairien qui se déclare publiquement “anti-humanity et self-purification.” Si, pour le moraliste anti‐naturaliste qui a la conviction que la volupté unique et suprême de l’amour gît dans la certitude de faire le mal et que l’homme et la femme savent de naissance que dans le mal se trouve toute volupté, la Femme est un vil animal qui mérite d’être battu et est représentative de la Nature teinté de Mal, c’est parce que toute femme est un morceau de la femme essentielle, et que chacun est le diminutif de tout le monde, et que l’Homme n’est que l’homme éternel, c’est-à-dire la Nature-Mal. Malgré cela, si Baudelaire présente la Femme comme telle, du moins, inférieure à l’Homme, c’est que la Femme a une foi mahométane dans le plaisir, et ignore l’Enfer comme le Purgatoire alors que le héros‐débauché du poème préliminaire des Fleurs du Mal a la volonté de se repentir et connaît l’angoisse du remords ainsi que l’Enfer. Aux yeux de Baudelaire, la Femme est simple comme un animal qui ne sait pas séparer l’âme du corps et est, en somme, un être déplorable. Baudelaire semble éprouver à la fois de la fureur et de la pitié pour la Femme qui n’a pas d’intelligence morale. Le vocabulaire et les images précieuses avoisinant les religions mystiques se trouvent dans les poèmes des Fleurs du Mal. Il nous semble mieux les comprendre du point de vue de la technique de divinisation et d’apothéose du poète lyrique qui veut faire des madrigaux et des galanteries auxquels il ne se trompe pas.

      • KCI등재

        Idées de Laclos sur les femmes dans Les Liaisons dangereuses d’après son essai De l’éducation des femmes

        이윤수 한국불어불문학회 2019 불어불문학연구 Vol.0 No.120

        Quelques mois après le succès éclatant des Liaisons, Laclos écrit en 1783 un essai assez court, en réponse à la question proposée par l’Académie de Châlons-sur-Marne : « Quels seraient les meilleurs moyens de perfectionner l’éducation des femmes ? ». Laclos tranche ainsi : « il n’est aucun moyen de perfectionner l’éducation des femmes ». Peu après dans la même année, il écrit Des femmes et de leur éducation dont les idées rejoignent celles de Rousseau. Il nous est apparu que ces essais sont une interprétation du roman et reflètent la pensée du romancier envers les femmes et leur éducation. Après avoir examiné plusieurs aspects, nous sommes parvenus à une conclusion allant dans le sens de la critique de Roger Vailland qui résume bien les idées de Laclos : « La femme est naturellement l’égale de l’homme. Mais toute femme est esclave. La femme, comme tout esclave, substitue l’adresse à la force. Mais la femme peut se libérer ». Le roman de Laclos démontre cette proposition dans une société assez cruelle pour les femmes et qui tend à les mener à l’échec. Cela n’empêche toutefois pas les femmes de garder l’espoir d’un progrès, d’une amélioration de leur condition. On en conclut que Les Liaisons dangereuses sont un champ d’expérimentation de la théorie de Laclos.

      • KCI등재

        문자예술과 회화예술: 들라크루아, 피카소 작품과의 비교 분석을 통한 앗시아 제바르의 『거처의 알제의 여인들』 연구

        김미성 한국프랑스학회 2019 한국프랑스학논집 Vol.105 No.-

        Eugène Delacroix a laissé un tableau intitulé Femmes d’Alger dans leur appartement en 1834. Pablo Picasso créa une série de 15 tableaux et de nombreux dessins, Les Femmes d’Alger, en 1955, en hommage. Assia Djebar a transformé les femmes d’Alger dans leur appartement d’objets passifs sur lesquels des points de vue extérieurs se profilent en êtres concrets et respirants de l’histoire, exprimant leur propre vie en se plaçant aux côtés des maîtres de l’art européen. Assia Djebar a voulu décrire la vie de femmes algériennes, ce que la peinture de Delacroix ne révèle pas. Dans le contexte d'un pays libéré, elle rêvait de libérer les femmes des chaînes qui subsistaient. Le premier moyen était de donner la voix aux femmes et de la documenter pour assurer la survie des histoires. Dans les Femmes d’Alger dans leur appartement, Assia Djebar donne la parole aux femmes de harem colorées mais sans vie et mélancoliques de la peinture de Delacroix qui étaient très probablement illettrées. Et elle s’assure que son travail existe dans la tension tendue entre l’image et le texte. Assia Djebar cherche à libérer les femmes du silence forcé et de l’espace restreint du harem par le biais de récits percutants qui peuvent désormais être communiqués au monde extérieur par l’écriture. L’auteur insiste particulièrement sur la solidarité féminine, car elle considère que c’est la clé pour rompre avec le patriarcat qui pèse lourdement sur les femmes. Assia Djebar guide également les femmes pour qu’elles apprécient le fait que leur vie ne diffère pas trop des oppressions que subissent depuis longtemps les autres femmes. Le message est que c’est à travers les mots et les lettres que l’on peut être conduit à cette prise de conscience pour lutter et se libérer.

      • KCI등재

        모리악 소설에 나타난 여성상 -1920~1940년대의 소설을 중심으로

        손정숙 ( Jeong Suk Son ) 한국불어불문학회 2010 불어불문학연구 Vol.0 No.84

        Apres la revolution industrielle, la societe francaise au debut du 20eme siecle, etait en plein desarroi avec les nouvelles idees dans le systeme des valeurs. Surtout la discussion de la vision sur la femme est la question la plus brulante de cette periode pour les certains ecrivains. En cette periode de changement, au-dela de la femme traditionnelle, apparait un nouveau type de la femme qui s`appelle "la femme nouvelle" attirant toute attention du monde par des comportements etranges: elle se maquille trop, elle fume, elle boit, elle danse aux boites de nuit, elle aspire a la liberte sexuelle. Elle veut etre libre, independante et jouir de sa vie sans aucune contrainte du systeme existant. Pourtant aux yeux de vieilles generations, elle vit selon son bon plaisir et n`a qu`une conduite dereglee comme le libertinage qui est deprave sexuellement et moralement. Elle n`est qu`une destructrice qui fait infraction a l`ordre que l`homme a concu. Les ecrivains sont serieusement angoisses des problemes sur la femme et contiennent ses ideees personnelles dans leurs ouvrages litteraires. Pourtant la plupart des ecrivains sont conservateurs en vision sur la femme. Mauriac lui aussi fait partie de ce groupe des ecrivains. Mauriac decrit les femmes traditionnelles et pitoyables dans le patriarcat, qui se sacrifient pour ses enfants et sa famille, qui sont opprimees. Mauriac leur montre sa pitie sans aucune critique, mais il est sardonique sur la femme nouvelle. Malgre cela, il y a quelques chercheurs coreens qui croient Mauriac comme feministe. Par exemple, Kim Jee-hee pretend, dans sa these doctorale, que les femmes mauriaciennes refusent leur destin pitoyable et se frayent leur chemin. Mais, elles se sont resignees a leur sort en acceptant leur situation pitoyable. Alors, il manque de fondements objectifs a leurs affirmations. En fait, depuis le temps de l`evenement de l`Espagne en 1937, il a activement ete a s`engager. Cependant, il montre une attitude reticente sur les problemes qui concernent la femme. C`est ironique qu`il n`a pas pris une voix devant la misere de la femme, puisqu`il parle du motif de son engagement qui devrait etre sa conscience en tant qu`un croyant fidele. On sait qu`il s`engage en politique et en societe. Cependant, pourquoi n`a-t-il pas prodigue les paroles sur les etats pitoyables de la femme. A cause de sa religion? Oui, certainement! C`est a cause de sa responsabilite, parce qu`il se sent le joug pesant comme un catholique. On doit donc le classer comme antifeministe. Parce qu`il cherche une image ideale feminine a sainte Marie qui concorde avec la femme tradionnelle et qui garde la virginite. Les femmes se soumettent aux traditions familiale et sociale. Elles doivent s`occuper des affaires domestiques sans etre consciente de l`inegalite des sexes. Tout au long de la vie des femmes, seul le sacrifice pour la famille leur a ete exige. Elles n`ont pas leur vie personnelle pour soi-meme. Pourtant, la femme nouvelle ne peut pas etre coinside a Sainte Marie parce qu`elle est egoiste, elle ne connait que soi-meme. Elle ne met pas en pratique l`amour et le sacrifice pour sa famille et ses enfants. C`est qu`il accepte la femme nouvelle qui nie la maternite fera donc agir la propre theorie chretienne. C`est qu`il garde le silence a propos des problemes sur la femme, en tant que chretien, c`est un dilemme comme ecrivain chretien qui s`engage. Il a voulu devenir un temoin de christ en pratiquant l`amour et en respectant les valeurs humaines. Il ne peut pas donc nier la femme de la Bible. Quant a lui qui suit la voie du Christ en respectant les dogmes du christianisme, ce sera ce qu`il nie sa propre vie. Pourtant, Mauriac n`accepte pas toutes les conditions feminines sans conscience problematique. Il a de la compassion pour la femme. Seulement il est furieux d`aller a l`encontre de la providence naturelle. Il a prodigue des louanges a la femme qui sait ressentir de l`amour dans le principe chretien. Il faut qu`il y ait du sacrifice et du service dans le fond de cet amour, parce que c`est ce qui fait scintiller en l`amour vrai dans le sens chretien.

      • KCI등재

        라 퐁텐느(La Fontaine)와 라 브뤼에르(La Bruyere)의 여성의 이미지 비교 고찰 -『우화집』과 『성격론』을 중심으로

        신명숙 ( Myung Souk Shin ) 韓國世界文學比較學會 2009 世界文學比較硏究 Vol.29 No.-

        Comme le christianisme qui exerca une grande influence sur les moeurs, la philosophie et la litterature francaise, les idees des moralistes occupaient ellles aussi une place considerables au XVIIeme. Nous remarquons parfois que les reflexions et les jugements chez les moralistes, vis a vis de la societe et aussi de la femme etaient bien similaires. Alors, nous nous sommes interesses aux reflexions sur la femme entre La Fontaine et La Bruyere. Il semblerait que la vision de La Fonatine sur la femme est analogue a celle de La Bruyere, surtout parmi les moralistes de son epoque. En comparant les personnages et les idees qui se manifestent dans les Caracteres et dans les Fables, nous nous rendons compte que ces deux ecivains partageaient les memes regards et les memes observaions sur la femme. Chez La Fontaine, les femme semblent etre inexistantes. De meme chez La Bruyere, les femmes sont moins nombreuses que les hommes. Les rares personnages feminins sont caracterises par la legerete, la pruderie, l`hypocrisie et l`instabilite de la conscience. Ce sont d`ailleurs les principaux defauts que les homes preferent relever chez les femmes. Mais les portaits feminins n`en restent pas moins ironiques chez les deux auteurs. Pourtant nous pouvons remarquer quelques differences entre La Bruyere et La Fontaine. La Bruyere ne concoit pas la femme comme un etre inferieur. Pour lui, les femmes etaient plutot sacrifiees par la societe masculine et par les coutumes depuis des siecles. Il cherche la cause de cette pretendue inferiorite des femmes dans l`absence d`instruction de celles-ci. En plus, La Bruyere reconnait aux femmes des qualites que La Fontaine a parfois neglisees dans ses Fables. Et parfois, il ademet meme la superiorite des femmes dans certains domaines. La Bruyere, en bon moralisateur, nous indique une bonne conduite ou une theorie. En faisant ca, il revele les vices qui peuvent etre presents chez les etres humains quel que soit leur sexe.

      • KCI등재

        니키 드 생 팔 예술에 나타난 페미니즘에 관한 연구

        정금희 한국프랑스학회 2011 한국프랑스학논집 Vol.73 No.-

        Niki de Saint Phalle est une femme artiste qui déploie au point de vue du féminisme le monde de l’imagination libre fondée sur l’amour de l’humanité. Elle a fortement critiqué une image que possède une société centrée sur les hommes et a voulu créer une image au regard des femmes, pas au regard des hommes. Cette étude est réalisée pour aborder le féminisme dans les oeuvres de Niki de Saint Phalle. Quelles sont les caractéristiques du féminisme qui sont représentées dans ses oeuvres pour cette étude ? Quelle est la racine de ses oeuvres féministes et quel est le symbole des images ? Quelle influence cette artiste donne-t-elle aux arts contemporains. L’opposition à l’image des femmes que nous regardons à un point de vue masculin est une caractéristique du féminisme chez Saint Palle. Elle a représenté symboliquement la femme comme victime de la contradiction structurale d’une socitété. Nous pouvons également voir dans ses oeuvres qu’elle a recherché la valeur des femmes et qu’elle a incarné une société où les hommes et les femmes sont égaux. Elle a classé en trois parties des images du féminisme dans ses oeuvres et ces symboles. Tout d’abord, elle a produit une série de peintures, 《Nanas》, qui signifie le mystère du corps des femmes donnant une naissance à la vie. Cette oeuvre a figuré des images féminines qui détruisaient l’image typique de la femme et a critiqué des images influencées par le monde masculin. Elle voulait aussi communiquer avec des gens par 「l’Ame」․, puis elle a préparé un espace de la réconciliation. Elle a ensuite montré que les femmes étaient victimes par le système patriarcal de la société machiste. La structure de la sociéte inégalitaire s’est améliorée et cette artiste a métaphorisé des oeuvres qui souhaitaient montrer la valeur des femmes et la liberté : 「Le cheval et la mariée」…, 「Autel des femmes」…. Enfin, elle a reflété sur ses oeuvres la féminitude des fils, des tissus, des couleurs splendides et des courbes douces : 「La force de Nana」…Cette tendance montre qu’elle a construit une originalité fondée sur l’expérience de sa propre vie. L’ étude des Arts de Saint Palle en liant le féminisme est très significative au point de vue artistique. Premièrement, nous pouvons comprendre les arts de Saint Palle et savoir qu’une femme artiste a surmonté la situation difficile et qu’ elle a créé ses propres oeuvres originales. Deuxièmement, nous pouvons saisir la diversité sur l’expression des images, l’emprunt des objets variés en analysant les Arts de Saint Phalle au point de vue du féminisme.

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